L’élection du président de la Confédération Africaine de Football (CAF) est fixée au 13 Mars et tout se met en place pour une bonne tenue de cette Assemblée Générale . Au niveau des candidats, les rencontres et concertations se multiplient.
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Selon plusieurs médias, 3 candidats (Jacques Anouma, Augustin Senghor et Ahmed Yahya) se sont entendus pour s’aligner derrière le sud-afficain Patrice Motsepe. Le président de la FIFA Gianni Infantino aurait en personne oeuvré pour ce compromis. En témoigne sa dernière tournée en Afrique. Et pour nombre d’observacteurs, le match est déjà plié et les postes seront distribués. Mais le candidat ivoirien Jacques Anouma n’est pas de cet avis.
A l’en croire, ce n’est qu’n accord de principe. Interrogé par RFI, l’ancien président de la fédération ivoirienne de football (FIF) a tenu à apporter des clarifications.
«Il faut que nos pays l’acceptent et le valident. On s’est donné jusqu’au 5 mars pour que cet accord soit validé.
Le procès verbal qui a été paraphé à l’issue de cette réunion de Rabat ne devait être connu par personne. Je suis choqué. On met plus en avant une distribution de postes qu’un accord pour aller vers l’unité. On a l’impression qu’on a sacrifié l’Afrique sur l’autel de nos ambitions personnelles. Ce qui se passe n’est pas trop démocratique, on impose aux électeurs un schéma. Qui vous dit qu’ils sont preneurs ? », s’interroge Jacques Anouma au micro de RFI.
