Qui aurait empoisonné Hamed Bakayoko et mis fin à sa vie ? Pour quel intérêt l’aurait-on empoisonné ? Autant de questions qui taraudent l’esprit des proches et fans du défunt Hambak. Pour l’heure, ça grogne en Côte d’Ivoire. Des explications et révélations font état d’un décès provoqué par l’empoisonnement et non un cancer comme l’annonce le pouvoir Ouattara.
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Nos confrères de « Actu Cameroun » ont pu recueillir les propos d’un activiste proche du régime de Yaoundé. Il s’agit de Patrick Mba’lla qui, dans une tribune ce 12 mars 2021, à en croire nos confrères, explique en ces termes : « fidèle à ses habitudes, l’ex-premier ministre ivoirien dînait souvent avec son cuisinier. Mais ce jour-là, quelques heures seulement après le repas, Hamed Bakayoko et son cuisinier se mirent à vomir sans cesse, suivi d’une perte de poids drastique les jours suivants ».
Plus loin, il indique « le journal Jeune Afrique le confirme d’ailleurs. C’était là le point de départ de la mort de l’ex-premier ministre ivoirien. Celui qu’on appelait Hambak. Cet empoisonnement, probablement à l’arsenic bien préparé, avait déclenché chez Bakayoko une cascade de cancers foudroyants, donc celui du foie et des reins, qui, finirent par l’emporter dimanche »
Selon Patrick M’ba’IIa d’après Actu Cameroun, Hamed Bakayoko est, comme tant d’autres passés sous la moulinette ouattariste, une victime de la guerre pour la conservation et pour la conquête du pouvoir qui fait rage en Côte d’ivoire depuis 2010.
Pour rappel, Hamed Bakayoko, l’ancien premier ministre du gouvernement Ouattara est mort en Allemagne le 10 mars dernier à l’âge de 56 ans. Les précisions statistiques font noter que son décès intervient huit mois après qu’il a succédé à Amadou Gon Coulibaly à la Primature. Il faut également préciser que Amadou Gon Coulibaly avait été brutalement, lui aussi arraché à l’affection des siens, une semaine après qu’il est rentré d’un séjour médical de trois mois en France.
