Victoire facile de Talon-Talata à Dassa-Zoumè: Thierry Gandogo, le générateur de l’historique K.O à Soclogbo

Conformément aux dispositions de la Loi fondamentale, les citoyens béninois en âge de voter se sont rendus aux urnes le 11 avril dernier pour élire un nouveau président. D’après les résultats provisoires relatifs au scrutin, proclamés ce jeudi 15 avril par la Cour constitutionnelle, le duo Talon-Talata a été élu au premier tour. Cette victoire facile a été l’œuvre des citoyens résolument engagés pour le retour du président sortant Patrice Talon. En effet, Thierry Gandogo n’est pas resté à la marge des contributeurs à cette victoire inédite. Mieux, il est l’artisan de ce K.O à Dassa-Zoumè, dans l’arrondissement de Soclogbo.

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À chacun ses stratégies de conquête d’électorat au profit de son duo de candidats. À Soclogbo dans la commune de Dassa-Zoumè, Thierry Gandogo a adopté une stratégie qui semble être extraordinaire dans l’histoire politique béninoise. Outre les multiples meetings organisés, l’homme a adopté un dispositif constricteur qui a permis d’enregistrer un fort taux de participation dans son arrondissement.

Le jeune stratège politique a mobilisé et convaincu des zémidjans qui ont assuré le jour du scrutin, le transport des militants vers les centres de vote. Ainsi, les populations sont massivement sorties et ont librement accompli leur devoir civique. Il faut noter que cet « appât politique » de Thierry Gandogo est le fruit du ratissage large observé au profit de son duo Talon-Talata à Soclogbo.

Sur les 2.812 suffrages exprimés par le peuple de Soclogbo, le duo Talon-Talata a enregistré 2.433 voix contre Soumanou-Hounkpè avec 321 et Kohoué-Agossa avec 58 voix. Il en résulte que Thierry Gandogo a fait obtenir à son duo, un taux de 82,02% des suffrages exprimés.

En outre, il a permis à Soclogbo de se retrouver premier arrondissement de Dassa-Zoumè ayant contribué à la victoire « un coup, K.O » attendu par les candidats Patrice Talon et sa colistière. La preuve que la détermination physique affichée et la politique managériale de l’homme de Soclogbo ont porté leurs fruits.