Asphaltage: bientôt la phase 2

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Le démarrage officiel de la phase 2 du projet Asphaltage est pour très bientôt. Par rapport à la première phase, plusieurs nouvelles communes seront prises en compte.

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Après la première phase du projet Asphaltage qui a fait rayonner plusieurs villes du Bénin, cap sera mis dans les tout prochains jours sur la phase 2. La liste des bénéficiaires de la première phase sera rallongée à cette occasion. Ce qui confirme d’ailleurs la déclaration du chef de l’État le 29 mai dernier lors de son investiture, de relier toutes les soixante-dix-sept (77) communes que compte le Bénin grâce à de nouvelles routes bitumées. Cette deuxième phase, faut-il le noter, va permettre le revêtement en bitume et en pavés d’environ deux cents (200) km de route. De passage sur l’Ortb, François Agonadjè, chef projet et assainissement à l’Agence du cadre de vie et pour le développement du territoire a annoncé : « il y aura de la voirie en bitume comme en pavés. Nous aurons des caniveaux. Nous aurons de l’éclairage solaire. Nous aurons les signalisations de sécurité et nous aurons aussi l’alignement par les arbres et l’aménagement d’espaces verts ». Il est également prévu la reprise des clôtures des écoles, établissements et centres publics situés aux bords des axes à réhabiliter. C’est un peu moins de 200 Km de travaux qui seront réalisés dans le cadre de cette deuxième phase du projet. En plus des communes comme Pobè, Allada, Ouidah, Aplahoué, Natitingou, Kandi, Djougou, Dassa-Zoumè et Sèmè-Podji, cette deuxième phase prendra en compte les villes comme Porto-Novo, Abomey-Calavi, Lokossa, Abomey, Bohicon, Parakou et Cotonou. Ces communes seront davantage assainies et modernisées par la réalisation d’ouvrages d’assainissement, d’éclairage public, de pavage, et autres infrastructures de qualité. Rappelons que le projet Asphaltage dans sa première phase a complètement changé le visage de certaines villes avec plus de 15 000 lampadaires solaires sur 195 km de voirie. Les ouvrages qui ont été exécutés dans neuf (9) villes du pays ont coûté 222 milliards FCFA (soit environ 412 millions $). Ce qui a généré au moins 10.500 emplois.

Abbas T.

SWEDD

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