Lutte contre la corruption sous la rupture:  » Les reformes et grands procès  » à travers un ouvrage écrit par François Awoudo et Michel Tchanou

« Lutte contre la corruption sous la rupture réformes et grands procès » c’est le titre de l’ouvrage écrit par deux éminents journalistes béninois François Awoudo et Michel Tchanou et mis sur le marché le mardi 31 août 2021. Présenté par le journaliste Wilfrid Adoun lors de sa sortie officielle au palais des congrès de Cotonou, cet ouvrage d’investigation raconte l’approche de la rupture face à la corruption qui constitue une gangrène pour la société, l’administration et l’appareil étatique. De 318 pages et subdivisé en deux parties, cet ouvrage met la lumière sur les efforts du président Talon dans sa lutte intrépide contre ce fléaux et les nombreux affaires de corruption jugées par la criet. François Awoudo auteur et coauteur de plusieurs ouvrages souligne : « Il y a un homme quelque part dans la salle qu’on appelle Gilbert Togbonon procureur spécial de la criet. Pendant la période que couvre cet ouvrage, nous voudrions ici publiquement le remercier pour nous avoir permis de comprendre ce qui est permis de comprendre ». Il n’a pas manqué de faire un clin d’œil à la douane béninoise et au service des impôts pour la franche collaboration lors de leur investigation. Michel Tchanou a pour sa part annoncé pour les tous prochains jours le « tome 2 » de l’ouvrage. Présent à ce lancement, le président de la Cour constitutionnelle, Joseph Djogbénou a salué le travail remarquable effectué par les deux auteurs de l’ouvrage. « Ma présence ne doit pas étonner elle a une double signification la première c’est en forme de témoignage à des amis Wilfrid, François, Michel et d’autres ici. Ils savent bien qu’il y a un parcours. Ils savent aussi que ceux qui sont en face, les auteurs et leur présentateur sont des coutumiers du fait, qui est bien présenté. Et c’est pour cela qu’il m’a paru nécessaire en souvenir de ce parcours mais aussi en admiration du courage qu’ils ont et qu’ils renouvellent toujours en exerçant leur profession. Il m’a paru nécessaire de venir les saluer » a laissé entendre Joseph Djogbénou. Pour le président du parti Moele-Bénin Jacques Ayadji, cet ouvrage est un bon chef-d’œuvre. Il a rappelé que les journalistes doivent être cette conscience qui rappelle à l’ordre le politique quand il fait mal et qui salue le travail quand il est bien fait. Aboubacar Takou journaliste et promoteur du groupe de presse le Béninois Libéré a saisi l’occasion pour attirer l’attention des politiques sur leur devoir à l’endroit des groupes de presse qui sont aussi des entreprises.

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Abbas T.