Surenchère d’un ex-employé d’une société contre son patron: Fabrice Gomé dans un chantage immoral contre son »bienfaiteur »
Le travail est un trésor, dit-on. Le trouver, l’assumer avec probité et l’entretenir par des résultats et des relations professionnelles est l’idéal prescrit. Mais malheureusement, il y a une certaine espèce de chômeurs repêché qui s’égare. Il y a aussi un certain type d’employés qui, n’ayant pu réussir à se départir de leur ignorance, se mélangent les pédales pendant et après la période de travail. À tout point de vue, le sieur Fabrice Gomé réussirait à décrocher la palme d’or dans cette dernière catégorie. L’histoire nauséeuse dans laquelle s’illustre tristement cet ex- employé de la société » Evame Motors » est liée à une somme de 1.060.000 FCFA. Affecté du Bénin à Ndjaména au Tchad sur l’un des sites de la société Evamé et gracieusement payé, le sieur Fabrice Gomé a servi l’entreprise entre 2014 et 2016. En avril 2016, sans l’autorisation de l’administration de la société Evamé Tchad, le sieur Fabrice Gomé rompt sa collaboration de façon volontaire et unilatérale avec l’entreprise qui l’emploi. Il est à noter que cet employé n’est pas exempt de reproche. Lui qui a traîné devant la police tchadienne le gérant du magasin qu’il tenait après un inventaire qui a révélé des manquants de moto et de moteurs; lesquels manquants ont motivé une décision de suspension de salaire. Régulièrement payé au Tchad, Fabrice Gomé, l’employé démissionnaire de retour à Cotonou n’a pas hésité à convoquer devant la police béninoise le même gérant qu’il avait déjà traîné devant la police tchadienne des mois plutôt. Cette fois-ci, cet ancien employé de la société Evamé Motors s’est illustré de façon malhonnête dans un gros mensonge. Il tente de prouver qu’il n’a jamais perçu ses salaires quand il était en activité. Mais face aux bulletins de paye, cet argument s’est écroulé comme un château de cartes. Il s’agit là d’un acte de mauvaise foi d’un ex-employé contre une entreprise sérieuse. Le déroulement du dossier finira par l’indication d’un montant de 1.060.000 FCFA y compris les frais de billet d’avion Ndjaména – Cotonou. Le 21 août 2021, le sieur Hilaire Tchiwanou, a au nom de l’entreprise Evamé Motors remis au sieur Fabrice Gomé en présence et au domicile de Corentin Kohoué. Le sieur Fabrice Gomé ayant été un soutien de Corentin Kohoué, ex-candidat à la présidentielle d’avril 2021. C’est ici que l’ex-employé sortira un autre jeu de mauvaise foi. Malgré la médiation de son mentor, l’ex candidat Corentin Kohoué, le sieur Fabrice Gomé veut encore plus d’argent. Selon lui, entre 2016 et 2021, ses 1.060.000 francs CFA doivent générer des intérêts qu’il estime à 5 millions FCFA. Ce discours relève plus d’une surenchère inacceptable tant les intérêts qu’il exige sont irréalistes. Aucune banque ou aucune autre institution financière ou de placement d’argent sérieuse ne ferait un taux d’intérêt à hauteur de 5 millions FCFA sur un peu plus d’un million FCFA. Dans une démarche de nous imprégner des motivations de cette exigence irréaliste et cupide, nous n’avons pu joindre le sieur Fabrice Gomé. Mais cet ancien employé est décidé à soutirer de l’argent des poches de son ex employeur qui a commis le pêché de l’avoir recruté en le faisant voyager et le sortant des griffes de la misère par un travail bien payé. Il se susurre que le sieur Fabrice Gomé excelle dans un chantage immoral contre son ex patron en demandant à l’administration douanière de contrôler la société Evamé Motors pour des fraudes supposées qui n’existent que dans son imaginaire. Au fond, il s’agit d’un acte de chantage pour extorquer de l’argent à son ex employeur. L’attitude d’un ex-employé vis-à-vis de son ex patron devrait être des gestes de reconnaissance. Au lieu de s’engager dans des combats qui, au finish compromettent la dignité, le sieur Fabrice Gomé devrait se détourner de ce péché : »faire des histoires » à un bienfaiteur qui est le patron.
Rose H