Supposé retard du paiement des salaires du mois de novembre : Gilles GOHY asphyxie les artisans de l’hérésie

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Les détracteurs du régime de la Rupture continuent d’intoxiquer l’opinion dans la honteuse intention de discréditer le gouvernement du président Patrice Talon. Heureusement, le pays comptant encore des citoyens vertueux comme le Maître de conférences Gilles Expédit GOHY, le rêve des mythomanes est toujours brisé par des tribunes et interviews à caractère technique et impartial.

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Nul n’ignore la fausse annonce relayée dernièrement sur les réseaux sociaux, selon laquelle les travailleurs ne percevront pas tôt leurs salaires du mois de novembre en raison d’un dysfonctionnement à la Direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique qui provoquera le retard. D’autres mythomanes ont même évoqué que les salaires ne seront pas virés parce qu’un enrôlement sera enclenché aux fins d’identifier les travailleurs vaccinés qui seuls pourront avoir droit aux salaires.

Le comble, le démenti formel de la DGTCP n’a pas suffi pour reculer les charognards dans leur rôle antipatriotique. Enfin, la dernière sortie du « Rupturien pur et dur » Gilles Expédit GOHY vient clouer le bec aux semeurs de la confusion dans l’esprit des citoyens.

« […] Moins de douze heures après le ferme démenti du Trésor public, la fausse nouvelle tomba, vigoureuse comme un coup de massue, fracassant les vilaines gueules des menteurs : la Bank of Africa (Boa), comme d’habitude, à la même période du mois depuis plusieurs années, vient effectivement de me supplier de passer promptement prendre mon salaire du mois de novembre 2021 », a lâché le socio-politologue dans un post publié ce 18 novembre 2021 sur son compte Facebook pour rassurer le peuple du paiement régulier des salaires des fonctionnaires.

Gaëtan D.

(Lire ci-dessous, l’intégralité du post de l’Universitaire)

Me voici encore aujourd’hui, qui m’adresse à vous, en tant que, sans me vanter, spécialiste en Communication politique, institutionnelle et en matière de Population diplômé du prestigieux Population Reference Bureau (PRB Inc.) à Washington DC.

Pourquoi ?

Pour, de nouveau, rectifier et toujours désintoxiquer, face à la mauvaise foi agissante au Bénin, pullulant comme de la charogne et résistant comme du chiendent inutile.

Ces 48 dernières heures dans mon pays, un certain avis pseudo conciliant est vite devenu viral parce que focalisant un thème vital : le salaire du travailleur !

De notoriété publique, le salaire, c’est l’argent, cette chose qui est la juste rétribution de la force du travail censée permettre au travailleur de la régénérer pour se maintenir dans le système de production.

C’est donc l’essence du mécanisme de création de valeur et de richesse et surtout le substrat de l’organisme humain qui en a fatalement besoin. Tout ce qui le touche de près ou de loin est comme le testicule d’un homme normal qu’il fait réagir instinctivement. C’est le nerf de la guerre pour la vie (ou la survie) et le plus puissant déterminant de la démarche individuelle qui change promptement dès qu’on l’a en poche.

L’argent calme et pacifie les âmes tourmentées. Il rend sûr de soi et tellement confiant en l’avenir au point d’en paraître goguenard de telle sorte que l’on dit aisément que l’argent est roi, souverain !

Il illumine les masques auparavant rébarbatifs, libère les sourires congelés, contraints ou contrits : l’argent est un incontournable adjuvant fonctionnel de vie. Il est donneur et porteur de vie, tout simplement !

Ainsi, comme s’il nous voulait du bien — ce qui est totalement faux — cet avis mystificateur informait les travailleurs de l’État de la possibilité d’un retard de paiement de leurs salaires du mois de novembre 2021!
Quelle hérésie !

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Du coup, la toile s’enflamma et enfla cette vilaine plaisanterie à un niveau inimaginable : la Gouvernance responsable du Président Patrice TALON réagit promptement, comme à l’accoutumée.

À une période définitivement révolue depuis 2016, un pareil canular sur un retard de paiement de salaire aurait laissé de marbre, parce que c’était une banalité avant la rigoureuse Gouvernance du Président Patrice TALON.

Et moins de douze heures après le ferme démenti du Trésor public, la fausse nouvelle tomba, vigoureuse comme un coup de massue, fracassant les vilaines gueules des menteurs: la Bank of Africa (BOA), comme d’habitude, à la même période du mois depuis plusieurs années, vient effectivement de me supplier de passer promptement prendre mon salaire du mois de novembre 2021. Quelle rafraîchissante nouvelle pour quelqu’un qui réfléchissait à comment juguler cet avis attentatoire à la vérité et à l’honnêteté envers l’action de l’Autre !

Ce n’est pas de la vantardise ni de la délation, Dieu m’en préserve ! Mais, c’est juste un témoignage obligatoire de justice à celui qui continue de faire bien, au grand désarroi des jaloux et des malveillants, le Président Patrice TALON tout simplement brillant !

Le but que je vise ici aujourd’hui est donc de montrer que les malveillants de La Rupture sont toujours aux abois et constamment à l’affût et aux aguets des pires intoxications.

En effet, quand on n’a que le salaire comme unique source de revenus, on le respecte à tout point de vue, comme moi !

Dans ces conditions, l’avis funeste d’un pseudo retard de paiement de salaire ne peut manquer de faire froncer les sourcils de désagrément à quelqu’un qui paniqua quelques heures plus tôt.

Ce fut le cas de mon ami Gbodja jusqu’à tout à l’heure, avec l’arrivée de l’avis prépondérant de la BOA qui met ainsi définitivement fin à tous les bruits lugubres des vuvuzelas dépréciateurs et des charognards de La Rupture. Je n’aurai donc jamais de cesse de les débusquer !

Quant à vous, mes chers petits princes qui m’attendez: vous attendrez encore un peu !

Vous me connaissez ! Comme d’habitude, je ne vais vous distribuer de l’argent que la semaine prochaine et vous savez très bien pourquoi !

Ce sont les urgences que constituent mes dépenses essentielles et incontournables qui m’attendent déjà, les yeux rouges et farouches :

1- les factures : eau, électricité, gaz;
2- santé : il est vrai qu’on déborde parfois d’énergie mais on reste constamment vigilant à entretenir la carcasse qu’ils cherchent désespérément à détruire et je m’attellerai vaillamment à les contrer.
3- vidange des moteurs.
….
Donc, patientez encore jusqu’à la semaine prochaine et priez toujours pour la Gouvernance responsable du Président Patrice TALON qui nous permet depuis plus de cinq ans d’une part, d’entretenir ce timing huilé de notre calendrier de vie basé sur le salaire régulièrement payé et d’autre part, de maintenir les promesses tenues à bonne date, à ma grande joie !

Enfin, vous qui, le mois passé, m’aviez prestement pris mon argent sans l’avoir remboursé jusque-là, ne vous avisez même de me sourire maintenant ou de venir pleurnicher de nouveau pour encore emprunter : vous n’aurez plus rien, parce que vous êtes mauvais !

Voilà !

C’est à TOI que JE confie !

Professeur Gilles Expédit GOHY,
Sociologue – Statisticien Démographe et Politologue,
Universitaire Spécialiste en Gouvernance et Démocratie, Maître de Conférences en Sociologie du Développement,
Ancien Directeur Adjoint de Cabinet du Ministère de la Communication et de la Poste,
Auteur du livre << Éducation et Gouvernance politique au Bénin du Danxômè à l’ère démocratique >>, en vente à la librairie Notre Dame de Cotonou et aux Éditions L’Harmattan à Paris.

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