Cabale diplomatique injuste et vitriol médiatique contre le Bénin : « l’on peut être pauvre et rester digne », signe Gilles GOHY

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Gilles Expédit GOHY n’avale pas la « pilule suicidaire » offerte à sa Patrie par les autorités américaines. En bon Patriote, l’homme dépièce la décision du Programme américain d’investissement et d’aide contre le Bénin pour extérioriser les réelles motivations de la Millennium Challenge Corporation.

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Les autorités américaines ont en effet amputé l’enveloppe béninoise de ce Programme de la MCC, en évoquant comme motif, « déclin des engagements du Bénin vis-à-vis des critères d’éligibilité de la MCC et de principes de gouvernance démocratiques ».

Pour le socio-politologue Gilles Expédit GOHY, révélateur des valeurs patriotique et démocratique, c’est regrettable que des grandes Nations se réclamant être « miroirs de la démocratie » prennent consciemment le malheureux risque d’encourager des actes antipatriotiques pourtant pénalement condamnables dans un État de droit et de démocratie.

« Tout se passe comme si l’objectif est d’œuvrer à ce que mon pays soit continûment une république bananière, totalement asservie aux confins de leurs intérêts », déplore-t-il. En tout cas, « l’on peut être pauvre et rester digne ! », a-t-il conclu après avoir déduit que le Chef de l’État Patrice TALON est dans un guêpier permanent où seul Dieu le protégera toujours, parce que préoccupé tout simplement par un Bénin Émergent favorable à la lutte sans complaisance contre l’impunité.

(Lire ci-dessous, l’intégralité du décryptage du Professeur)

« Être le Président de la République du Bénin, c’est donc loger dans un guêpier permanent ! »

La Gouvernance du Bénin qui surprend beaucoup plus agréablement depuis mai 2016 donne raison, à bon droit, à certains de mes écrits passés.

Il n’est effectivement pas loin le temps où je parlais du Béninois Paradoxal qui veut en même temps la pluie et le beau temps, sans créer les conditions d’occurrence de cette simultanéité.

Le Président Patrice TALON, à peine à mi-mandat de son premier quinquennat, vilipendé et maltraité, reçut constamment des volées de bois vert visant sa déstabilisation programmée tous azimuts.

Abusivement dénigré continûment, il n’eut quelque peu grâce qu’à l’étalement de son brillant bilan qui reçut partout des ovations soutenues !

Et pourtant, les animosités et les inimitiés de tout acabit (récurrentes ou nouvelles), ne désenflèrent point !

J’ai bien compris celles qui proviennent constamment des clowns apatrides, parias à leur pays, qui n’ont de cesse de vilipender et de bazarder le Bénin à l’aune de leur forfaiture.

Rien de surprenant à cela, puisque en bons prostitués, ils se donnaient pèle-mêle aux plus offrants, dans des jouissances gloutonnes sordides.

Le vice et la perversité devinrent poignants quand, à quelques encablures de la fin de son premier mandat, le Président Patrice TALON et le Bénin subirent les feux outrageants de leurs ennemis résolus à mettre un terme au décollage spectaculaire du développement du Pays Bénin.

Comment interpréter autrement les professions de foi des haineux qui promirent « brûler le pays » qu’ils aspiraient pourtant gouverner?
La mauvaise foi agissante était flagrante et constipante !

Des biens publics et privés furent brûlés, à la grande joie des pseudo opposants qui n’hésitèrent pas à tirer sur les populations paisibles. Quelle Gouvernance responsable pouvait laisser faire ça, sans promptement réagir ? Aucune !

Personnellement, je nourrissais alors secrètement l’espoir de voir pleuvoir sur mon pays les félicitations et palmes bien méritées de soutiens de sa bonne gouvernance que devraient pourtant vaillamment soutenir tous les pays autoproclamés de « grandes démocraties »!

Espoir déçu et perdu puisque c’est de cette arène de « grandes démocraties » que surgirent des critiques bizarres, de curieuses objections de consciences totalement monacales, en totale inadéquation avec leurs dits précédents relatifs au respect des libertés individuelles et collectives et leur appréciation actuelle de la révolution actuelle en matière de développement social au Bénin! C’est à y perdre son latin, tout simplement !

Voilà des chantres de bonne démocratie qui se dérobent, avares de reconnaissance bienveillante quand cette reconnaissance est mise à mal au Bénin et que sa gouvernance rétablit l’ordre.

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Les voilà qui crient « haro sur le baudet » quand les textes sont respectés et mis en œuvre au Bénin!

Tout se passe comme si l’objectif est d’œuvrer à ce que mon pays soit continûment une république bananière, totalement asservie aux confins de leurs intérêts. Quel paradoxe !

On a donc tout compris, entre autres, la langue fourchue !

Je continue ainsi d’être meurtri par les récentes attaques de ce grand pays dit de grande démocratie et où on envahit le Congrès comme un marché de friperies, contre le petit Bénin qui sort la tête de l’eau et essaie vaillamment de se réaliser, après son criminel lynchage médiatique passé, en 2019.

À quoi rime ce comportement paradoxal affligeant contre le Bénin ?

Comment comprendre tous ces chantages de réduction d’aides financières à peine voilés, qui semblent avoir beaucoup à voir avec la volonté de nuire au Bénin ?

Cela ne serait-il pas aussi intimement lié à la résolution du Bénin de diversifier ses opportunités de réalisation nationale et d’atteinte résolue des objectifs du développement de ses communautés ?

Je demeure bien perplexe quant à certaines sincérités dans la coopération des grands et des petits quand ces derniers affichent des velléités d’émancipation non contrôlée.

Il est donc très clair désormais que mon Pays ira de pression en pression, de surenchère en surenchère, de représailles en représailles, pour avoir résolument voulu se réaliser par le travail opiniâtre et soutenu.

Le Président d’un pareil pays totalement digne et travailleur a ainsi les nerfs constamment à fleur de peau, pris en sandwich entre ses harassants Programmes d’Action du Gouvernement (PAG) et les galéjades outrancières des pays malveillants, ceux qui ne lui veulent pas précisément du bien.

Alors, le Président du Bénin n’est-il pas dans un four permanent en voulant révéler son pays pour le développement dont sa population a grand besoin ?

Oui, assurément !

Il est même plutôt dans un guêpier permanent où seul DIEU le protègera toujours!

Il est désormais clair et limpide que les pays pauvres comme le Bénin doivent résolument œuvrer à amoindrir le joug de la dépendance, en s’affranchissant par le travail créateur de Valeur et de Richesse, hors de tout misérabilisme, pour exister dignement.

Gémir, pleurer ou prier un être transcendantal (DIEU, ALLAH ou tout égrégore religieux), sans ce travail libérateur des diverses dépendances infantilisantes et avilissantes, sera nul et de nul effet !

On sait que c’est celui qui a la farine qui détermine toujours l’occurrence de la pâte à consommer et sa répartition. Mais, l’on peut être pauvre et rester digne !

Le Tout-puissant nous garde. Nous vaincrons !

C’est ce que J’AI encore pensé !

Professeur Gilles Expédit GOHY,
Sociologue – Statisticien Démographe et Politologue,
Universitaire Spécialiste en Gouvernance et Démocratie, Maître de Conférences en Sociologie du Développement,
Ancien Directeur Adjoint de Cabinet du Ministère de la Communication et de la Poste,
Auteur du livre « Éducation et Gouvernance Politique au Bénin du Danxômè à l’ère démocratique », en vente à la librairie Notre Dame de Cotonou et aux Éditions L’Harmattan à Paris.

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