Préoccupé par un climat favorable à la concrétisation du « hautement social » : Gilles GOHY ratisse le cerveau des pyromanes

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Malgré des signaux de développement qui motivent à reconnaître la bonne gouvernance qu’est l’étiquette du gouvernement du président Patrice TALON, certains Béninois ne sont toujours pas délivrés des maux antipatriotiques (béninoisérie, sournoiserie, infodémie, hypocrisie, complot contre la République, …) qui les dépourvoient de l’esprit de discernement.

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Mais, tenez ! Ces « malades » tendant dangereusement à étouffer l’agréable métamorphose de la Nation engagée résolument et sans relâche par le compétiteur né, Patrice TALON sont toujours asphyxiés par le cadre révélateur des valeurs patriotiques, Gilles Expédit GOHY.

Cet Universitaire analyste des questions sociopolitiques ne manque d’aucun moment pour dénuder les vautours de la République qui, empêchés de brûler le pays, prennent désormais le risque antidémocratique de compromettre le gouvernement porteur de l’émergence chez les Partenaires extérieurs.

Dans une tribune à plume magnifique, le Maître de Conférences éclaire l’opinion publique sur le mode opératoire de ces citoyens hostiles à l’émergence de la Patrie, tout en exhortant à la continuité des efforts aux fins de se libérer de toutes sortes d’humiliations et affranchir les possibles chantages éhontés.

Gaëtan D.

(Lire ci-dessous, la tribune du Professeur)

« Les besaciers et leurs valets : ne pas dire franchement ce qu’on doit, est-ce de l’hypocrisie ou de la sournoiserie ? »

La rigoureuse et crédible gouvernance inexorablement en cours au Bénin depuis mai 2016 réussit, pour la première fois dans l’histoire de la gestion du crédit et de la dette, un exploit exceptionnel : le remboursement avant-terme de plus de 200 milliards de FCFA sur sa dette en cours !
Du jamais vu !

Le remboursement anticipé récemment d’un prêt de plus de deux cents milliards qui n’a pas plu aux détracteurs du Bénin et à ceux qui souhaitent continuer de le dominer, mérite pourtant hautement qu’on s’y intéresse longuement, pour toujours faire mieux, marque distinctive de la Gouvernance du Président Patrice TALON.

Nous devons donc continuer les efforts nécessaires pour nous libérer de toutes sortes d’humiliations et nous affranchir de tous les chantages éhontés possibles.

En temps normal, avec des gens encourageants et de bonne foi, tous les pays du monde, notamment toutes les régies financières mondiales, devraient, enthousiastes, féliciter le Président Patrice TALON et sa Gouvernance. Ces régies devraient effectivement applaudir chaudement cet exploit exceptionnel d’un petit à ressources limitées.

Sans être nostalgique d’un passé récent révolu, celui des intempestives marches de soutiens et des innombrables messes de prières ruineuses aux frais de la République, je m’étais attendu en vain à une plus grande reconnaissance des populations béninoises qui, elles, sont bien excusables.

A contrario, ne seront jamais excusés les intellectuels des lieux de savoirs et de savoir-faire (écoles de formation et universités) dont on est en droit d’attendre beaucoup d’emphase sur cette édition exceptionnelle du Bénin.

Dans les écoles et facultés concernées, cela aurait pu servir d’étude de cas concrète pour les jeunes apprenants au Bénin.

La vulgarisation de cet exploit aux jeunes générations béninoises pourra insuffler un nouveau dynamisme à l’apprentissage de la bonne gestion et à la meilleure perception de la bonne gouvernance du Président Patrice TALON. Ce serait alors simplement un moindre encouragement à cette gouvernance qui permet au Bénin de sortir résolument de l’ornière et de se révéler.

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Le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS), en contexte d’efficience, aurait pu avoir bon jeu si, en plus des collèges et lycées, viviers de l’avenir du Bénin, les deux hauts dépositaires du Savoir fondamental idoine que sont la FASEG et l’ENEAM s’étaient adéquatement illustrées. Ce qui ne fut pas le cas, malheureusement !

Dans ces deux cas (FASEG et ENEAM) qui ont lamentablement failli, je demeure perplexe.

En effet, si je ne m’abuse, nous sommes quand même bien en face d’un bel exemple de « économie » et de « gestion » pour la FASEG d’une part ; de « management » et de « économie appliquée » (ENEAM), d’autre part !

Ce serait vraiment souhaitable et hautement souhaité que de pareils exploits de gouvernance qui ne manqueront plus de se répéter au Bénin soient bien relayés, au profit des jeunes générations.

En effet, avec ce jeune et brillant Ministre de l’économie et des finances de toute ma fierté que le Président Patrice TALON a si judicieusement et gracieusement donné au Bénin, de nouvelles prouesses similaires se répèteront sûrement. On s’attend alors à ce qu’elles soient mieux appréciées et exploitées pour le grand bonheur des jeunes générations.

Le MESRS pourra alors servir de relais utile et nécessaire à la meilleure diffusion de pareils exploits qui ne devraient plus passer inaperçus dans les établissements de formation et de recherche au Bénin, comme c’est le cas actuellement.

Ma petite inspiration pense ainsi que ces deux respectables entités du MESRS auraient pu moins décevoir les attentes comme c’est le cas maintenant, si elles avaient perçu à sa juste valeur l’importance de cet exploit réconfortant et retentissant du Bénin sur les marchés financiers internationaux.

Elles auraient alors densément contribué à sensibiliser les futurs dirigeants du Bénin, sur la nécessité d’œuvrer désormais à perpétuer ce qui devra être une tradition. Mais, rien n’y fit, me jetant dans le lot significatif des déçus de ce manquement inexplicable !

Il s’agit réellement d’une défaillance qu’il n’est pourtant pas encore impossible de rattraper.

En effet, si elles le veulent, ces deux augustes arènes du Savoir dans le domaine de l’économie et des finances, peuvent encore trouver les créneaux appropriés pour se rattraper et se racheter. Il est encore possible, à mon avis, d’expliquer à ces jeunes la grande portée de l’exploit.

Dans un passé récent, les milliards fournis au Bénin par cet exploit financier inédit auraient atterri dans les poches des besaciers du Bénin, vautours implacables et charognards impénitents de l’économie béninoise.

Les besaciers dont il s’agit ici sont les rapaces et prédateurs des deniers publics de tous les jours. Ce sont les profiteurs illicites de ces deniers qui, de leurs positions privilégiées, détournent allègrement ces deniers, en défaveur des infrastructures diverses nécessaires aux populations béninoises (routes, ponts, marchés modernes, écoles, …).

Ce sont les gens qui, dans un passé récent, se partageaient ce genre de ressources financières à savoir :
1- organisateurs de marches de soutiens et messes diverses au Président de la République et à ses ouailles;
2- spécialistes de primes bizarres d’escaliers et consorts ;
3- intermédiaires rançonneurs de microcrédits aux pauvres ;
4- voleurs et détourneurs divers de deniers publics prompts à s’envoyer en divagations quand l’argent sale ne circule plus, à leur grand désarroi ;
5- prévaricateurs corrompus prompts à se cataloguer « réfugiés politiques »;

Les valets de ces besaciers qui les encourageaient aux vols divers, sont ainsi jaloux et malades de l’exploit historique du Bénin qui profite actuellement au Bénin et à sa Population, toutes catégories confondues.

Les ressources financières du Bénin devront désormais profiter au Bénin et à ses populations ; la Révélation est bien là !

C’est ce que J’AI encore pensé !

Professeur Gilles Expédit GOHY,
Sociologue – Statisticien Démographe et Politologue,
Universitaire Spécialiste en Gouvernance et Démocratie, Maître de Conférences en Sociologie du Développement,
Ancien Directeur Adjoint de Cabinet du Ministère de la Communication et de la Poste,
Auteur du livre « Éducation et Gouvernance Politique au Bénin du Danxômè à l’ère démocratique », en vente à la librairie Notre Dame de Cotonou et aux Éditions L’Harmattan à Paris.

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