Journée Mondiale de l’habitat : la croissance économique après les bouleversements négatifs et croisés de COVID-19 comme préoccupation

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« Des économies urbaines résilientes, les villes stimulent la croissance économique et la reprise », c’est autour de ce thème que se commémore la 38ᵉ Journée Mondiale de l’Habitat. Elle est décrétée par l’Organisation des Nations Unies et se célèbre tous les premiers lundis du mois d’octobre. L’objectif de la célébration de cette année est de réunir les différents acteurs urbains pour discuter des moyens de préparer les villes à la reprise après les bouleversements économiques négatifs et croisés de COVID-19 et des conflits. Ceci en abordant les différentes dimensions du ralentissement économique que les villes connaissent actuellement et en identifiant les mesures que les villes peuvent prendre pour stimuler la reprise économique ; et en partageant les expériences de différentes villes sur la manière dont elles se positionnent pour faire face aux pressions inflationnistes et aux autres conditions financières mondiales restrictives.
Au Bénin, même si des manifestations officielles n’ont pas été organisées pour commémorer la journée, il est à noter qu’elle intervient juste à la fin du 1ᵉʳ Forum International du Cadre de Vie (FIC) et de l’ouverture de la 7ᵉ édition du Salon de l’Immobilier et des Matériaux Modernes (S2IM) que le Ministre du Cadre de Vie et Transports, chargé du Développement Durable (MCVT) a présidé. Il a profité pour délivrer un message en marge de la Journée Mondiale de l’Habitat. « La locomotive du développement passe sûrement par le développement des infrastructures et fondamentalement les réformes permettent leur maintenance en bon état. Ce qui importe le plus au gouvernement, c’est d’abord la qualité des matériaux. C’est pour cela que vous avez constaté que les dispositions sont en train d’être mises en place avec ma collègue en charge de l’industrie et du Commerce, pour que nous nous donnions les moyens d’installer ici les laboratoires qu’il faut pour contrôler la qualité des matériaux, parce que c’est une question de vie et de mort. Chaque fois qu’un bâtiment en construction s’écroule, ce sont des pertes en vie humaine et ce sont des désastres difficiles à contrôler », a déclaré José Tonato.

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