Exploitations sexuelles, violence et séquestration : Une lesbienne béninoise poursuivie pour proxénétisme

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  • Une audience annoncée pour le 8 décembre prochain
  • Nécessité de faire barrage à l’homosexualité sous toutes ses formes

La brigade des mœurs veille au grain. Elle veille pour extraire de la circulation des hommes et des femmes qui n’ont trouvé pour seule activité que le commerce du sexe sous le prisme de l’exploitation du corps d’autrui. En effet, une lesbienne est actuellement poursuivie pour des faits de proxénétisme.

Le récit de nos sources permet de savoir que deux femmes sont au cœur de l’affaire. L’une serait venue du Nigeria pour étudier au Bénin. Mais, jamais elle n’aura réussi à passer ses examens avec succès. Une contre-performance qui a irrité ses parents au bout de deux ans. La deuxième femme impliquée dans l’histoire est Béninoise. Nos sources la décrivent aussi comme une lesbienne. Cette dernière va entrer en contact avec les parents de la Nigériane avec la promesse de l’aider à lui trouver un bon job.

Les parents musulmans de la fille nigériane qui ont horreur de la vie de débauche au point d’interdire à leur enfant de fréquenter des hommes au Bénin, vont cette fois-ci prendre confiance. Car au bout de la ligne, c’est une femme béninoise qui propose d’aider leur enfant à trouver un bon job. La Béninoise va même suggérer héberger la fille nigériane. Deux femmes lesbiennes dans une même chambre, les feux de l’attirance se sont vite allumés.

La Nigériane lesbienne et la Béninoise lesbienne vont entretenir des relations sexuelles. Avec les fantasmes de l’heure, les appareils sexuels seront achetés pour des séances de masturbation (godemichet). Mais tout ceci n’aura pas suffi aux deux femmes lesbiennes. Selon nos sources, la Béninoise lesbienne a entrepris de s’ouvrir aux hommes. C’est ainsi que régulièrement, des hommes passeront prendre du bon temps avec la Nigériane.

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Un commerce sexuel s’installe puisque ces hommes payent le plaisir sexuel offert. Très vite, la lesbienne béninoise va faire croire à sa voisine nigériane que l’argent issu de ses parties se jambes en l’air avec les hommes est destiné à prendre en charge les besoins de la chambre. Une histoire de  »je couche avec des hommes et l’argent que je gagne sert à te nourrir ».

Selon nos sources, la Béninoise lesbienne finira par contraindre la Nigériane à lui emboîter le pas. Des hommes seront envoyés régulièrement par la Béninoise pour coucher avec la Nigériane. En retour, la Béninoise gagne de l’argent sur chaque partie de sexe entre la Nigériane et les hommes. De lesbienne à proxénète, la Béninoise s’est trouvé des talents de commerçante de sexe redoutable. La Nigériane soumise désormais à un rythme sexuel effréné ne verra rien de l’argent qui sort de la vente de son corps.

Des actes de violence exercés sur la fille nigériane par la Béninoise vont aussi faire figure. Difficile à supporter, la lesbienne nigériane va fuguer pour trouver refuge au domicile d’un haut fonctionnaire. Se prévalant de son titre de  »mari », la lesbienne béninoise ira porter plainte au commissariat de Calavi contre ce haut fonctionnaire pour des faits de kidnapping de sa femme qui n’est rien d’autre que la lesbienne nigériane. L’affaire est sensible et touche aux mœurs. Le commissariat de Calavi le sait et s’est déclaré incompétent. L’affaire sera renvoyée à la Brigade des mœurs.

Au regard des faits, la lesbienne béninoise a été placée en garde à vue dès le jeudi dernier pour des faits de proxénétisme, de violence et de séquestration. Devant le parquet ce mardi 21 novembre 2023, les deux femmes lesbiennes ont été mises sous convocation. Le tribunal va rouvrir le dossier le 8 décembre 2023. Cette affaire révèle la crise des valeurs et les effets nocifs de l’homosexualité.

Deux lesbiennes qui finissent devant le tribunal pour proxénétisme, violence et séquestration, cela doit faire réfléchir. Les pratiques sexuelles contre nature ne peuvent produire rien de bon pas plus qu’elles ne peuvent garantir la paix du cœur. Pendant qu’il est encore temps, les Béninois doivent multiplier les efforts pour ne laisser aucune chance à ces pratiques abominables d’envahir la société.

Se taire aujourd’hui et penser que c’est l’affaire des autres serait une manière de jeter ses propres enfants dans la gueule de ces promoteurs de l’homosexualité qui détruisent les fondations de nos cultures et de nos valeurs.

B. K. S

SWEDD

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