Pratiques sexuelles contre-nature au Bénin : Une association dresse le lit à l’homosexualité

Alors qu’il y a une levée de boucliers dans l’opinion publique nationale et celle africaine contre les pratiques sexuelles contre-nature regroupées sous le vocable Lgbt+, les promoteurs d’une telle tendance indécente changent de stratégie. Ils savent qu’il y a désormais des soldats de la culture et des valeurs prêts et debout à nettoyer tous les germes pathogènes de l’homosexualité sous toutes ses formes au Bénin. Déjà en difficulté à s’assumer publiquement, les promoteurs de l’homosexualité développent désormais une nouvelle stratégie marketing pour rallier à leur sordide cause.

La stratégie consiste à utiliser la situation difficile du chômage qui ruine et brise le rêve des jeunes. À l’avant-garde de cette technique de promotion de l’homosexualité se trouve une association dont nous taisons volontairement pour l’heure le nom. La dénomination de ladite association évoque a priori une synergie d’action en matière de bien-être notamment au plan sanitaire pour les personnes porteuses de certaines affections délicates. On sait aussi, sur la base des documents consultés par la rédaction du journal Le Potentiel que cette association est connue des services étatiques. Le récépissé de son existence légale figure parmi ceux délivrés au mois de novembre 2011. Puis début 2019, les services compétents de l’État habilités à acter des modifications survenues dans la vie des associations ont émis les documents y afférents.

Mais les services étatiques savent-ils que cette association excelle désormais dans la promotion de l’homosexualité et des pratiques sexuelles contre-nature regroupées sous le vocable Lgbt+ ? Dans les dossiers soumis pour l’enregistrement officiel, les responsables de cette association avaient-ils mentionné qu’ils créaient leur association pour faire la promotion des Lgbt+ ? Alors que ces questions méritent d’avoir des réponses, sur le terrain, la réalité montre que cette association est devenue un creuset de promotion de l’homosexualité.

Dans un appel à candidatures pour une offre d’emploi destinée aux jeunes, ladite association, sans retenue, a mis comme premier critère que « les candidatures de jeunes personnes Lgbtqi de 18 à 30 ans seront priorisées ». En affirmant d’emblée et en première position, la priorité d’office réservée aux jeunes homosexuels, cette association donne la preuve qu’elle entendait clairement faire la promotion des pratiques sexuelles contre-nature désapprouvées au Bénin. Non seulement, ce critère prioritaire de statut Lgbtqi qui relègue en position subsidiaire les autres critères de compétence est discriminant, car fondé sur une orientation sexuelle non prescrite par les codes, les valeurs morales et traditionnelles enchâssées dans nos cultures ici.

Un jeune béninois doté des plus meilleures compétences du monde, mais attaché à la norme hétérosexualité aura presque 0% de chance de décrocher le poste. Au-delà, cette offre d’emploi révèle que cette association est à fond dans une campagne marketing de recrutement des jeunes béninois au profit de la communauté Lgbt. Il s’agit d’un piège dans lequel beaucoup de jeunes livrés aux vicissitudes du chômage et en quête d’un emploi peuvent tomber facilement.

Pour réussir à décrocher ce poste, des jeunes peuvent être amenés à simuler pour un début d’être des homosexuels. Juste une formalité pour s’offrir les chances de gagner le poste. Mais c’est comme un fumeur du premier jour. La pratique routinière conduit à la dépendance. Qui pourrait prédire ce que ces jeunes béninois recrutés dans cette association pourraient commencer à faire en termes de pratiques sexuelles contre-nature ? Cette association jouerait ainsi un rôle de chambre de conditionnement psychologique par l’appât d’un emploi afin de semer le doute dans la tête des jeunes avec pour ambition de les convertir à l’homosexualité.

Sous nos yeux, la vague de recrutement des jeunes à convertir à l’homosexualité pour élargir le nom de la communauté Lgbt+ est en mouvement. C’est ici que les structures étatiques habilitées à délivrer, à retirer ou à annuler les actes d’enregistrement doivent réagir. Il n’est pas si sûr qu’à l’enregistrement, ces promoteurs aient dit, dans les termes clairs, qu’ils étaient une association de promotion de l’homosexualité. En cela et pour déviance, trafic ou perversion des objectifs, il s’agit de dissoudre l’association par voix d’autorité.

Les juridictions compétentes doivent assurer une mission de veille et appliquer les sanctions idéales aux responsables de cette association pour atteinte aux mœurs qui ressemblent à nos cultures. L’homosexualité est une pratique abominable, contraire aux us et coutumes. Cette pratique abominable attire la colère des ancêtres et génère des problèmes énormes.

Même les saintes Écritures ont proscrit l’homosexualité et prescrivent formellement l’hétérosexualité. Les mesures d’urgence pour sécuriser le Bénin contre l’invasion des pratiques sexuelles contre-nature doivent être renforcées.

B. K. S