Nouvelle sortie à polémiques d’un panafricain sur la tension Cotonou-Niamey : Entre infox, mélange de sujets et haine envers sa patrie, Kemi Seba sabote le Bénin
Kemi Seba, connu sous son vrai nom Gilles Capo Chichi, est au cœur d’une controverse majeure au Bénin et dans la sous-région. Lors d’une conférence de presse, il a affirmé sans preuve la présence de légionnaires étrangers sur le sol béninois, déclenchant une vague d’indignation et de réactions fermes de la part des populations.
Kemi Seba, compatriote béninois, a décidé de saboter son pays, le Bénin, pour les beaux yeux de Tiani, le président de la transition au Niger. Le président de l’ONG Urgences Panafricanistes a montré ces derniers jours ses compétences dans la fabrication des mensonges de toutes pièces et dans la diffamation.
Les allégations estimant une présence de base militaire au Bénin et la venue de légionnaires sur le territoire sont non seulement infondées, mais susceptibles de continuer à enfoncer les relations déjà dégradées entre le Bénin et le Niger. Il n’y a aucune présence de bases militaires étrangères ni de légionnaires au Bénin, l’a rappelé à plusieurs occasions déjà le porte-parole du gouvernement, Wilfried Léandre Houngbédji.
Mais que cherche encore Kemi Seba pour continuer à divulguer les fausses informations et à jeter du discrédit sur son pays, le Bénin avec des propos qui peuvent être qualifiés d’atteinte à la dignité nationale ?
Le panafricanisme ne doit pas être utilisé pour ternir l’image du Bénin. Cette situation met en avant les contradictions de Kemi Seba, dont les actions sont perçues comme déconnectées de ses discours de leader panafricaniste.
La population béninoise a exprimé sa profonde indignation face aux affirmations de Kemi Seba. Les citoyens, fiers de leur pays et de ses institutions, rejettent fermement ces accusations qu’ils considèrent comme une salissure de l’image du Bénin. La majorité des Béninois étant consciente de l’absence de bases militaires étrangères, les propos de Kemi Seba apparaissent juste comme des discours qui sont restés dans les micros et les caméras des professionnels des médias qu’il a invités.
Le gouvernement béninois doit prendre des mesures strictes pour contrer cette désinformation. En tant que pays de droit, le Bénin doit être prêt à sévir contre de tels comportements pour préserver la cohésion nationale et l’intégrité de ses institutions.
Les motivations de Kemi Seba demeurent floues, suscitant de nombreuses interrogations. Pourquoi un leader se déclarant panafricaniste diffuserait-il des informations non fondées ?
Kevin da-SILVA