Le ministre togolais de l’Enseignement primaire et secondaire, Dodzi Kokoroko, a récemment pris une décision significative en excluant définitivement un enseignant accusé de harcèlement sexuel sur mineur à l’École Privée Laïque Montesquieu 2. Cette initiative marque un tournant dans la lutte contre les abus dans le milieu éducatif, révélant un engagement fort en faveur de la sécurité des élèves.
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Les accusations portées contre Monsieur Pittta Kodja Martin, enseignant de CE2, ont donné lieu à une enquête approfondie, qui a conclu à des comportements inacceptables menaçant l’intégrité des jeunes élèves. La promptitude de l’administration à agir dans cette affaire a été saluée par les parents, qui se réjouissent de voir des mesures fermes prises pour protéger leurs enfants.
Il est important de noter que Dodzi Kokoroko a été perçu comme un acteur lascif dans ses fonctions par le passé, son parcours étant entaché d’irrégularités et de controverses. Toutefois, sa décision actuelle montre qu’il semble avoir pris conscience des enjeux cruciaux liés à la sécurité des élèves. En se positionnant fermement contre le harcèlement, Kokoroko révèle un aspect nouveau de sa personnalité.
Dans un souci de prévention, le ministre a également annoncé la mise en place de formations destinées au personnel éducatif, axées sur la sensibilisation au harcèlement et la protection des mineurs. Cette initiative démontre une volonté de transformer le paysage éducatif en instaurant une culture de responsabilité et de respect au sein des établissements.
En conclusion, la décision de Dodzi Kokoroko de s’attaquer au harcèlement sexuel dans les écoles mérite d’être saluée. Bien qu’il ait un passé marqué par des comportements controversés, son engagement actuel pour la sécurité des élèves constitue un pas dans la bonne direction. Si cet élan est soutenu, il pourrait contribuer à créer un environnement éducatif plus sûr et plus respectueux au Togo, où les droits des enfants sont protégés et valorisés.
Lire ci-dessous la note de service portant exclusion de monsieur PITTA Kodjo Martin.
Olivier A.
