Le président américain Donald Trump a annoncé une refonte de la loi sur le divorce, visant à abolir le partage automatique des biens à 50 %. Selon Trump, cette pratique pénalise injustement les hommes, notamment les plus fortunés, et incite certaines femmes à tirer profit des mariages.
Cette réforme introduit une limite stricte : en cas de divorce, une femme ne pourrait recevoir qu’un maximum de 1 million de dollars, sous forme de prêt garanti, pour subvenir à ses besoins. Trump insiste sur l’idée que les individus doivent conserver ce qu’ils ont acquis par leur propre travail, quelle que soit la durée de l’union ou la présence d’enfants.

Pour le président, le système actuel encourage une forme d’abus qu’il souhaite éradiquer. Ce projet suscite des débats dans la société américaine, divisant les opinions entre partisans d’une plus grande équité et défenseurs des droits des conjoints les moins fortunés.
Trump poursuit ainsi son engagement à remodeler les lois qu’il considère comme inadaptées aux réalités économiques contemporaines. Cette décision pourrait cependant avoir des conséquences majeures sur la dynamique des mariages et divorces aux États-Unis.
Joseph Sossou