Supposée démission du Procureur spécial de la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme : Fake news ! Ni démission, ni limogeage, ni remplacement
Ni démission, ni limogeage, ni retrait, ni remplacement. Mario Metonou est encore bien assis dans son fauteuil de Procureur spécial de la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (CRIET). C’est la seule vraie information à retenir face à la flopée de Fake news distillée abondamment depuis hier mardi 18 février 2025 sur les réseaux sociaux. La fausse information sciemment élaborée par une certaine officine participe d’un vaste projet de déstabilisation des institutions étatiques. Ils étaient nombreux, nos milliers d’abonnés et lecteurs, à s’interroger sur la véracité de cette information de démission du Procureur spécial de la CRIET Mario Metonou. Le Département enquête et investigation du Groupe de presse Le Potentiel n’a pas tardé à lancer son plan d’urgence. Très vite, les informations collectées auprès de plusieurs sources officielles ont permis de démentir la fausse nouvelle : Mario Metonou est bel et bien encore le Procureur spécial de la CRIET. Par ailleurs, la forme de cette fausse information est de nature même à renseigner sur son caractère douteux. Les spécialistes en fact checking n’ont pas hésité à signaler cette fausse information. En effet, c’est une capture d’écran d’une publication de source anonyme qui a annoncé la supposée démission de Mario Metonou de son poste de Procureur spécial de la CRIET. Selon les mentions lisibles de la capture d’écran, cette supposée démission serait liée à l’affaire Olivier Boko, du nom de l’ami du Président de la République Patrice Talon condamné par la CRIET à 20 ans de réclusion criminelle pour complot contre la sûreté de l’État fin janvier 2025. Cette fausse information est une dérive dans les cyberespaces. Aux dernières nouvelles, les services compétents sont à pied d’œuvre pour identifier l’auteur de cette publication mensongère afin qu’il réponde de ses actes. Cela participera à la salubrité dans les cyberespaces.
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B. K. S
