
Règlements de comptes politiques au bloc républicain à Abomey-Calavi : Augustin Zannou dénonce une déclaration calomnieuse en pleine bataille pour les communales de 2026
Les positionnements politiques pour les élections municipales et communales de 2026 s’annoncent houleux dans la 6ᵉ circonscription électorale. Au cœur de la tourmente, le conseiller municipal Augustin Zannou du parti politique le bloc républicain (BR) , qui se dit victime d’une déclaration calomnieuse destinée à ternir son image. « Je m’inscris en faux contre cette déclaration calomnieuse qui vise à ternir l’image de ma personne », a-t-il réagi dans une correspondance adressée au président Patrice Talon, en date du 24 octobre 2025 dernier, dont le Potentiel a obtenu copie.
Élu d’Abomey-Calavi et considéré comme l’un des jeunes visages prometteurs du parti, Zannou est reconnu pour son engagement constant aux côtés des populations de l’arrondissement de Akassato et son rôle actif dans la défense des positions du bloc républicain au sein du conseil municipal. Selon ses proches, cette popularité dérange. Des sources internes évoquent un « plan organisé » pour l’écarter des futures listes, sous prétexte de dissensions internes.
Le jeune conseiller n’a pas mâché ses mots contre le député Nathanaël Sokpoekpé, membre influent du même parti, qu’il accuse implicitement d’être à la manœuvre. « Mon seul tort, c’est d’être resté fidèle à la base et aux idéaux du parti », confie-t-il à ses soutiens. Dans un contexte où les tractations pour les communes de 2026 ravivent les rivalités internes, l’affaire Zannou illustre les fractures qui traversent le bloc républicain à Abomey-Calavi.
Entre ambitions personnelles, règlements de comptes et querelles de leadership, la bataille pour le contrôle de l’hôtel de ville s’annonce rude. Et si le cas Zannou en est un avant-goût, les prochains mois pourraient révéler d’autres déchirures au sein du parti présidentiel.
Joseph Sossou

Les positionnements politiques pour les élections municipales et communales de 2026 s’annoncent houleux dans la 6ᵉ circonscription électorale. Au cœur de la tourmente, le conseiller municipal Augustin Zannou du parti politique le bloc républicain (BR) , qui se dit victime d’une déclaration calomnieuse destinée à ternir son image. « Je m’inscris en faux contre cette déclaration calomnieuse qui vise à ternir l’image de ma personne », a-t-il réagi dans une correspondance adressée au président Patrice Talon, en date du 24 octobre 2025 dernier, dont le Potentiel a obtenu copie.
Élu d’Abomey-Calavi et considéré comme l’un des jeunes visages prometteurs du parti, Zannou est reconnu pour son engagement constant aux côtés des populations de l’arrondissement de Akassato et son rôle actif dans la défense des positions du bloc républicain au sein du conseil municipal. Selon ses proches, cette popularité dérange. Des sources internes évoquent un « plan organisé » pour l’écarter des futures listes, sous prétexte de dissensions internes.
Le jeune conseiller n’a pas mâché ses mots contre le député Nathanaël Sokpoekpé, membre influent du même parti, qu’il accuse implicitement d’être à la manœuvre. « Mon seul tort, c’est d’être resté fidèle à la base et aux idéaux du parti », confie-t-il à ses soutiens. Dans un contexte où les tractations pour les communes de 2026 ravivent les rivalités internes, l’affaire Zannou illustre les fractures qui traversent le bloc républicain à Abomey-Calavi.
Entre ambitions personnelles, règlements de comptes et querelles de leadership, la bataille pour le contrôle de l’hôtel de ville s’annonce rude. Et si le cas Zannou en est un avant-goût, les prochains mois pourraient révéler d’autres déchirures au sein du parti présidentiel.
Joseph Sossou
