Dans la commune de Toviklin, l’insécurité à Toviklin s’impose dans les conversations. À Doko, l’angoisse gagne les familles après trois vols en une semaine. Des faits proches, répétés, qui laissent un goût amer et une peur diffuse.
La nuit du mercredi 17 décembre 2025, à Klémè, la pompe du puits de l’auberge NOTVIK disparaît. Un outil simple, utile à tous, arraché dans le silence. Quelques jours plus tard, le vendredi 19 décembre, toujours à Klémè, un polytank servant à la vente d’eau est emporté depuis une maison. Le dimanche 22 décembre, à Djidowanou, des pneus de tricycle, le « cloboto », sont retirés et volés. Trois actes, un même arrondissement, Doko. L’insécurité à Toviklin touche le quotidien. L’eau manque, les activités ralentissent, la méfiance s’installe. Les habitants parlent de nuits courtes, d’objets surveillés, de regards qui se croisent sans réponse. Le préjudice dépasse la valeur des biens. Il atteint la tranquillité.
Face à cette série, l’appel est clair. Les autorités administratives et les forces en charge de la sécurité doivent renforcer leur présence et leurs actions à Doko. L’insécurité à Toviklin ne peut devenir une habitude. Les populations demandent des réponses rapides pour retrouver le calme.
Joseph Sossou
