Pour un Bénin déparasité des écuries sociales : Gilles GOHY flanque un uppercut aux rombières
La Nation béninoise doit être déparasitée ! Cette Nation de l’Afrique de l’Ouest confrontée depuis 2016 à la gouvernance restauratrice de son émergence grâce à l’homme de vision Patrice TALON mérite d’être épargnée du phénomène des rombières. Et des patriotes comme l’Universitaire Gilles Expédit GOHY s’activent déjà résolument pour faire relever le défi. Jusqu’ici, aucun fait social n’échappe à ce Sociologue. Il monte au créneau quand il le faut pour éduquer, guérir le peuple de l’infodémie et révéler la gouvernance patriotique étiquetée « Patrice TALON ».
Cette fois, il a fait avaler « la pilule de l’andragogie » à des femmes. En bon féministe réaliste, le Maître de Conférences a décrypté le phénomène des rombières et déduit son impact sociologique sur la Patrie. D’abord, la rombière est une femme d’âge mûr, prétentieuse et ennuyeuse.
À en croire la tribune à belle plume publiée à cet effet par le Professeur sur son compte Facebook ce mercredi 15 décembre 2021, le phénomène perturba dans le passé et perturbera encore davantage le marché matrimonial, si on n’y prend garde. « Ce phénomène tributaire d’une part des réseaux sociaux, de la détestation, la crainte ou de l’aversion envers le mariage, d’autre part, est encore de nos jours celui des vieilles filles résolument bourrées de prétentions, au soir de leur vie », explique l’homme de la Logique.
Il est nécessaire, poursuit-il, de commencer la réflexion sur ce fléau social rampant qui s’étend davantage, malheureusement. « Il faut marier ou savoir se marier à temps », a conseillé l’analyste des questions sociopolitiques avant de conclure en ces termes : « épouse qui t’aime ! Tu finiras par l’aimer ! Ton bonheur est à ce prix ».
Gaëtan D.
(Lire ci-dessous, l’intégralité de la tribune du Patriote)
« Épouse qui t’aime, tu finiras par l’aimer ! »
C’est par cette vérité implacable que j’aborde aujourdhui mon propos : un phénomène de tous les jours auquel nous ne faisons pourtant pas attention, parce que cela procède de la vie à laquelle elle se confond facilement. Effectivement dilué dans le quotidien, il s’agit du phénomène des rombières sur le marché matrimonial…
Qu’est-ce qu’une rombière ?
C’est ma sœur, cest ta sœur, ta fille ou ta parente ! Dit cavalièrement, une femme d’âge mûr, un peu ridicule, prétentieuse et ennuyeuse est une rombière ! En langue Fon du Sud-Bénin, c’est une femme « kpòtchònoun », sorte de rebuts de la gent féminine qui, à force de surenchères répétées, en a été victime, de guerre lasse. Comme un fruit avarié, hautement accessible parce que désormais totalement disponible sans condition du fait de sa moindre valeur marchande, la rombière est le parfait reflet de l’allégorie de la grenouille qui, à force d’avoir trop attendu pour se rendre à la réunion royale de partage de rôles, ne trouva point de place assise !
C’est le féministe réaliste que j’ai toujours été qui reprend aujourd’hui du service, pour attirer l’attention de tous sur ce phénomène rampant qui continue ses ravages. Son importance individuelle et collective est donc indéniable. Il s’agit du vieux mais renaissant phénomène des rombières qui perturba dans le passé et qui perturbera encore davantage le marché matrimonial, si on n’y prend garde !
Le marché matrimonial rend compte des dynamiques liées aux évènements démographiques suivants qui le déterminent fondamentalement, dans leurs interférences et interactions : naissances, décès, mariages, divorces, émigrants et immigrants.
Si le phénomène des rombières qui n’est ni un avatar ni une innovation en Afrique au sud du Sahara et au Bénin attire de plus en plus l’attention, cest parce qu’il s’érige davantage en norme dévastatrice des conventions sociales. Ce phénomène tributaire d’une part des réseaux sociaux, de la détestation, la crainte, ou de l’aversion envers le mariage, d’autre part, est encore de nos jours celui des vieilles filles résolument bourrées de prétentions, au soir de leur vie. Dans sa modalité déguisée pourtant utile à la collectivité Fon du Bénin, la rombière de la sphère domestique traditionnelle (« Tangnin-non ») est redoutable. Souvent erronément assimilée à une sorcière, elle est la seule femme qui accède aux couvents avec les hommes : c’est une initiée !
La communauté des hommes est un faisceau de transactions sociales diverses dans une arène qui est d’office un marché. Et comme tout autre marché, le marché matrimonial obéit aussi à la loi économique de l’offre et de la demande, avec la valeur comme centralité et l’utilité marginale comme adjuvant fonctionnel.
Un être courtisé, donc envié, n’est pas encore avarié, mais demeure consommable, aussi longtemps que sa valeur marchande intrinsèque reste abordable sur le marché; tant que la surenchère ne viendra pas gâter l’ambiance et les choses, du fait de la mauvaise appréciation des situations. La surenchère intervient alors chaque fois qu’il y a surévaluation d’une part, et l’impression dune erreur d’appréciation, dautre part ! Faire de la surenchère, c’est donc exagérer l’offre marchande escomptant la demande élastique. Faire de la surenchère, c’est donc mettre la barre très haut pour un maximum de profit réel ou supposé. C’est vouloir, par exemple, vendre à 100 FCFA un produit qui ne vaudrait que 25 FCFA ! La situation est exactement comparable à celle des « buyers and sellers », ces petits commerçants, les vendeurs à la sauvette qui posent à 2000 FCFA, une montre de pacotille de 500 FCFA. Ils sourient alors naïvement quand l’intention est cernée et commencent alors les vraies négociations. Avec un peu de savoir-faire, cette fameuse montre pourra même se vendre à moins de 500 FCFA !
A l’échelle des relations sentimentales, une femme menacée par l’âge et les outrages fatals du temps quand elle vieillit, aura beau jeu d’éviter la surenchère, si elle veut échapper à la poubelle des rombières toujours consécutive à une dépréciation irréversible. Si elle fait la mijaurée ou la difficile à conquérir (ou à épouser), cette femme se met simplement dans une dangereuse dynamique de surenchère et donc, dans une regrettable perspective de rombière.
Il en est donc des victuailles comme de la séduction sur le marché matrimonial. Ainsi, qu’il s’agisse du marché de victuailles (fruits, légumes, poissons, viandes,…) denrées périssables comme la beauté humaine, ces produits sont éphémères. Essentiellement dépréciables, donc, jetables à tout moment, hors des limites du supportable, ces produits sont menacés à tout moment d’entropie, de ruine ou de rejet. Ainsi, la vendeuse qui aura été très (ou trop) chère, donc exagérément gourmande, se retrouvera inexorablement punie, avec de nombreux produits plus ou moins avariés (mais sûrement dépréciés) sur les bras. Elle rendra grâce à DIEU si elle arrive à en bazarder suffisamment pour ne pas essuyer le courroux dévastateur du regard social réprobateur, surtout dans les sociétés qui prônent la tempérance, la modération et détestent les gourmands de tout sexe.
Effectivement, une vendeuse trop chère est toujours prévenue par l’acheteur ou le voisinage immédiat: « si tes produits sont hors de prix, tout le monde te fuira et tu le regretteras ! » Similairement, une belle femme irrespectueuse des détresses masculines parce que s’estimant inaccessible par sa beauté, ignore même parfois bêtement (ou inconsciemment), l’impact réellement dévastateur des outrages du temps. En fait, elle oublie grossièrement que toute beauté est une fleur, toujours relative au temps dont elle demeure esclave. Évidemment, comme d’habitude en ces circonstances, on veut continuer de crâner, de pavaner parce qu’on a une trop grande impression de soi-même, une appréciation excessive de sa valeur marchande, dans tout déni d’objectivité ! Une pomme qui doit être vendue à 100 FCFA aujourd’hui, aura moins de chances d’être vendue à 75 FCFA, si on n’y prend garde !
Tous sexes confondus, on peut distinguer, grosso modo, deux sortes de personnes sur tous les marchés. Mais, sur celui spécifique de la nuptialité et/ou de la fécondité, par exemple, la loi de l’offre et de la demande sur ces deux phénomènes démographiques, subit de pleins pieds l’interférence nocive (ou non) de la surenchère. Élément essentiellement pernicieux si on n’y prend garde, la surenchère peut donc offrir le passeport à la destination fatale que devient la destination Rombière, poubelle des rebuts matrimoniaux, sorte de soupape à l’équilibre des aventuriers sentimentaux ! Une femme qui ne se marie à temps, risque de ne plus jamais le faire avec efficience !
A l’extrême, les rombières constituent en dernier recours l’arène privilégiée des filles de joies pudiquement dénommées « travailleuses du sexe », sorte d’euphémisme à une appréciation particulière (ou péjorative) d’une certaine catégorie de personnes à utilité sociale marginale incontestable. Parce que cette dernière s’émousse fatalement avec le temps et fait gonfler la classe des personnes de faible autonomie financière qui grugent consciemment ou non les budgets des collectivités ou des ménages, il est nécessaire de commencer la réflexion sur ce fléau social rampant qui s’étend davantage, malheureusement ! Il faut marier ou savoir se marier à temps !
Il est incontestable que l’Homme devient continûment faux, menteur, pervers ou perverti par principe. Et au Bénin que je connais un peu plus, le développement des réseaux sociaux dessert beaucoup plus l’Homme qu’on ne le croit. Il vit ainsi parfois dans la hantise permanente du mensonge et de la trahison, de sorte que seules quelques rares personnes responsables cherchent encore à se marier, par dépit ou par désarroi.
Ainsi, certaines femmes, plutôt blessées par leurs propres antécédents familiaux déplacent (ou transfèrent), apeurées, leurs déconvenues (réelles ou supposées) dans leurs relations interpersonnelles transversales, celles du moment vécu. Alors, c’est l’escalade ! Parce que Papa (ou Maman) échoua, on pense à tort qu’en s’engageant dans une relation amoureuse pérenne, on échouera aussi, nécessairement !
Pourtant, rien ne se passe nécessairement ainsi : les contextes sont toujours différents. Ils présentent à travers le temps, des conditions objectives de réalisations plus solides et totalement plus convaincantes. Mais, le manque de confiance envers L’UN fait erronément emballer L’AUTRE dans l’abomination du rejet, quelle que soit sa bonne volonté. Le stupide raisonnement est le suivant : parce que Polycarpe m’a menti, Dodji aussi me décevra fatalement ! Quelle hérésie ! Est-ce que parce qu’un Dirigeant X échoua lamentablement dans sa gouvernance de la Cité, le Dirigeant Y la ratera nécessairement aussi ? Evidemment NON : les destins individuels sont toujours différents les uns des autres !
Penser ainsi est donc assurément erroné et procède d’une mauvaise vue de la situation, une fausse appréciation de l’instant. Une femme qui collectionne des fausses couches peut aussi très bien allaiter après des jumeaux ou des triplés. C’est la dialectique de la vie et l’Histoire rend compte de grands Présidents de grandes Nations qui ont accédé au Pouvoir Suprême, après des échecs répétés (Abraham Lincoln, par exemple). Tout est question de confiance en soi et de l’appréciation profonde de l’offre en présence. Ne voir qu’a priori le gros nez de l’offreur ou les oreilles d’agouti du demandeur est totalement superficiel et fera rater entièrement l’occasion de bonheur rêvée !
Avant d’élaborer plus finement sur ça, un petit rappel de microéconomie à l’échelle des transactions humaines s’impose.
Comme tout marché, le marché matrimonial obéit effectivement à la Loi économique de l’offre et de la demande. Un être courtisé, donc envié ou désiré, n’est d’office pas encore avarié, mais demeure consommable, aussi longtemps que sa valeur marchande intrinsèque demeure abordable. Aussi longtemps que la surenchère ne viendra pas gâter l’ambiance et les choses, du fait de la bêtise humaine. Faire de la surenchère, c’est simplement exagérer dans l’offre quand on croit maîtriser la demande; c’est aussi mettre la barre très haut ; c’est vouloir, par exemple, vendre à 100 FCFA un produit qui ne vaudrait que 25 FCFA !
On fait exactement comme les « buyers and sellers », les petits commerçants, les vendeurs à la sauvette qui posent facilement à 2000 FCFA, le prix de base dune montre pacotille de 500 FCFA. C’est donc fatalement un marché de dupes dont l’issue est jonchée de désillusions, de déceptions. Une femme menacée par l’âge et les outrages fatals du temps quand elle vieillit, mais qui fait la mijaurée ou la difficile à conquérir (ou à épouser), est simplement dans une dangereuse dynamique de surenchère et donc, dans une regrettable perspective de rombière.
Ainsi, qu’il s’agisse du marché de victuailles (fruits, légumes, poissons, viandes,…) denrées périssables comme la beauté humaine, ces produits sont éphémères. Essentiellement dépréciables, donc, rejetables à tout moment, hors des limites du supportable, ces produits subissent inexorablement la dure loi du marché, faite de manipulations diverses. La vendeuse qui aura par exemple été très (ou trop) chère se retrouvera inexorablement avec de nombreux produits plus ou moins avariés (ou dépréciés) sur les bras. Avec un peu de chance, elle rendra grâce à DIEU si elle arrive à en bazarder suffisamment pour ne pas essuyer le courroux dévastateur du regard social réprobateur, surtout dans les sociétés qui détestent les gourmands de tout sexe. Les vieilles filles sont toujours peu respectées par la société !
Effectivement, une vendeuse trop chère, donc une offreuse trop exigeante, est toujours prévenue par l’acheteur (ou le voisinage immédiat) du risque encouru par la logique de surenchère. Perfide, elle se croit souveraine. En fait, elle oublie grossièrement que toute beauté est comme une fleur, toujours relative au temps dont elle demeure esclave. Une pomme qui doit être vendue à 100 FCFA aujourd’hui, aura moins de chances d’être vendue demain à 75 FCFA, si on n’y prend garde !
Tous sexes confondus, on peut donc distinguer, grosso modo, deux sortes de personnes sur tous les marchés. Sur celui spécifique de la nuptialité et/ou de la fécondité, par exemple, la loi de l’offre et de la demande subit de pleins pieds l’interférence nocive (ou non) de la surenchère.
Élément essentiellement pernicieux si on n’y prend garde, la surenchère peut offrir le passeport à la destination fatale que devient la destination Rombière, poubelle des rebuts matrimoniaux, sorte de soupape à l’équilibre des aventuriers sentimentaux ! Au départ maniérées et ayant refusé au départ 40 FCFA, par exemple, ces femmes supplient ensuite pour promptement prendre 30 FCFA, en désespoir de cause : ce sont des humiliées de la vie, des auto-humiliées de la vie, plus précisément !
En fait, les rombières constituent l’arène privilégiée des filles de joies pudiquement dénommées « Travailleuses du sexe », sorte d’euphémisme à une appréciation particulière ou péjorative d’une certaine catégorie de personnes à utilité sociale marginale incontestable. Parce que cette dernière s’émousse fatalement avec le temps et fait gonfler la classe des personnes de faible autonomie financière qui grugent consciemment ou non les budgets des collectivités ou des ménages, il est nécessaire de commencer la réflexion sur ce fléau social rampant qui s’étend davantage, malheureusement !
Il est incontestable que l’Homme devient continûment faux, menteur, pervers ou perverti par principe. Et au Bénin que je connais un peu plus, le développement des réseaux sociaux dessert beaucoup plus l’Homme qu’on ne le croit. Il vit ainsi parfois dans la hantise permanente du mensonge et de la trahison, de sorte que seules quelques rares personnes responsables cherchent à se marier. Certaines plutôt blessées ou apeurées par leurs propres antécédents familiaux déplacent ou transfèrent leurs déconvenues (réelles ou supposées) dans leurs relations interpersonnelles transversales, celles du moment vécu. Alors, c’est l’escalade ! Parce que Papa ou Maman échoua, on connaît bêtement l’erreur de penser qu’en s’engageant dans une relation amoureuse de longue durée, on échouera aussi, nécessairement !
Pourtant, les contextes sont toujours différents parce que présentant des conditions objectives de réalisations plus solides et totalement plus convaincantes. Mais, le manque de confiance envers L’UN fait erronément emballer L’AUTRE dans l’abomination du rejet, quelle que soit sa bonne volonté.
Le stupide raisonnement est le suivant : parce que Polycarpe m’a menti, Ulrick aussi me décevra fatalement !
Voyons donc !
Parce qu’un Dirigeant X a lamentablement échoué dans sa gouvernance de la Cité, Y la ratera-t-elle nécessairement aussi ?
Non, bien sûr !
Penser ainsi est erroné et procède d’une vue totalement erronée de la situation, une fausse appréciation de l’instant.
On oublie souvent qu’une femme qui collectionne des fausses couches peut aussi très bien après allaiter des jumeaux ou des triplés: tout est question d’opportunités. C’est la dialectique de la vie et l’Histoire rend compte de grands Présidents de grandes Nations ayant accédé au Pouvoir Suprême, après des échecs répétés (Abraham Lincoln, par exemple). Tout est donc simplement question de confiance en soi et de l’appréciation profonde de l’offre en présence.
Une appréciation qui ne voit qu’a priori le gros nez de l’offreur ou les oreilles d’agouti du demandeur est totalement superficielle et ratera entièrement l’occasion de bonheur rêvée !
Un homme qui ne trouva jamais une quelconque compagnie féminine supportable, mourra vieux garçon, seul dans son cagibi ou dans son grenier. De même, une femme qui estime n’avoir trouvé aucun homme épousable, courra vainement après les gigolos : les produits avariés sont aisément vilipendés.
Alors, toi mon cher Monsieur qui ne peut supporter sur son cher et sublime divan les sympathiques urines et les fatales défécations du nouveau-né; toi, femme qui ne trouves que la tête de musaraigne de Vodjo ou les oreilles de lapin du sieur Azoui, prends garde à ne même plus trouver Maître Baudet à ta solde. Hennissant de frayeur ou de peur devant la montagne de froideur détestable que tu es devenue : ta peau N fois gommée n’intéressera plus personne ! Toutes tes bonnes intentions se heurteront aux mépris souverains de ceux que tu ignoras souverainement et que tu fis souffrir de tant de mépris. Tu connaîtras alors totalement la poubelle des rombières, cimetière de tant de curs blessés par des surenchères abominables.
Un homme transi d’amour et bourré de déceptions de surenchères en arrive aisément à haïr ses sources d’amour primordiales. Alors, toi qui en es responsable te rendras compte, à ton corps défendant, de la grande vérité des deux adages suivants :
« Un tiens ! vaut mieux que Deux tu auras ! »
et
« l’amour non partagé se transforme toujours en haine, si on n’y prend garde ! »
Tu verras alors que ma tante Camerounaise a totalement raison de conseiller :
« Épouse qui t’aime ! Tu finiras par l’aimer !
Ton bonheur est à ce prix ! »
Alors, vas-y résolument ! Reproduis-toi !
Donne des bras vaillants à ce beau pays qui en a grand besoin pour son développement !
Et Dieu nous garde des rombières ! A tout prix !
C’est à TOI que JE confie !
Professeur Gilles Expédit GOHY,
Sociologue – Statisticien Démographe et Politologue,
Universitaire Spécialiste en Gouvernance et Démocratie, Maître de Conférences en Sociologie du Développement,
Ancien Directeur Adjoint de Cabinet du Ministère de la Communication et de la Poste,
Auteur du livre « Éducation et Gouvernance Politique au Bénin du Danxômè à l’ère démocratique », en vente à la librairie Notre Dame de Cotonou et aux Éditions L’Harmattan à Paris.