France : Guillaume Soro désormais « persona non grata »
Emmanuel Macron a par ailleurs estimé que l’ancien chef rebelle et ex-Premier ministre ivoirien « n’avait pas à créer le désordre », référence à l’appel de Guillaume Soro au soulèvement des forces armées ivoiriennes. Il l’avait lancé au lendemain de la présidentielle du 31 octobre.
La réplique de Guillaume Soro aux mots d’Emmanuel Macron n’a pas tardé, l’ancien chef du parlement ivoirien enchaînant une série de tweets et de déclarations.
« Je ne commenterai pas les propos d’Emmanuel Macron. L’Europe demeure un espace de liberté variable. Je continuerai à m’opposer au viol de la Constitution de mon pays », a-t-il notamment écrit.