Abomination et relations sexuelles incestueuses: enceinter sa belle-sœur, le péché honteux d’un député

À moins d’un an de la fin du mandat de la huitième législature, les Béninois garderont une triste nouvelle qui jette l’opprobre sur toute l’institution parlementaire. Il s’agit d’un acte abominable dont l’auteur n’est ni plus ni moins qu’un élu à l’Assemblée nationale. Le fait a priori peut être classé sur le compte des faits divers. En cela, le procès d’ailleurs intenable qu’on pourrait faire, serait de nourrir des réserves sur l’intérêt que nous accordons au sujet. Mais, le profil de l’auteur d’une relation incestueuse élève l’acte au rang d’un péché qui ne peut passer inaperçu. Selon nos sources, un député membre de la huitième législature a commis l’impair d’aller fouiller dans les caleçons de sa belle-sœur. En clair, ce député aurait, selon nos sources, eu des rapports sexuels avec sa belle-sœur. Il s’agit donc d’un acte d’inceste commis par ce député dont nous taisons le nom. Avoir des relations sexuelles avec sa belle-sœur est une pratique incestueuse qui porte atteinte à la pudeur selon le Code pénal en vigueur au Bénin. De même, le Code civil proscrit les relations sexuelles incestueuses. Selon nos sources, le député dont il s’agit a sa belle-sœur sous son tutorat. Selon nos sources, ce député profitant de son statut de tuteur a commencé à entretenir des relations sexuelles avec cette dernière par cupidité sexuelle. Selon nos sources, il agit d’une relation consentante. La belle-sœur en question est donc consentante. Le député n’a donc pas forcé les choses. Durant plusieurs mois, le député et sa belle-sœur ont goûté au fruit interdit sans aucune mesure de prévention contre la grossesse ni les infections sexuelles. Dans la foulée, racontent nos sources, la belle-sœur est tombée enceinte. Abracadabra ! Pour nos sources proches de cet acte abominable, dès l’avènement de la grossesse, c’était la panique générale tant du côté de la fille que du côté de l’honorable député. Dans cette situation confuse, les premières idées ont été d’attribuer la grossesse au petit ami de la belle-sœur ou encore opter pour l’interruption volontaire de la grossesse (IVG). Dans le premier cas, le scénario paraît intenable surtout dans un contexte où le copain n’a plus eu occasion d’avoir des rapports sexuels avec sa copine (la belle-sœur) depuis quelques mois. Comment va-t-il accepter assumer la paternité de cette grossesse ? Du coup, cette option a été écartée. Il restait le second scénario, donc aller à pratiquer l’IVG. Selon nos sources, député a pris le soin de contacter une clinique de la place qui a procédé à l’avortement avec succès. La belle-sœur s’est donc débarrassée de la grossesse. Dans l’entourage de l’élu, il se dit que le  »le député a poussé un ouf de soulagement », car craignant que cette affaire de grossesse ne soit une cerise sur le gâteau pour ses adversaires politiques qui peuvent l’utiliser comme thème de campagne pour le détruire aux prochaines élections législatives. Le député dont il s’agit nourrit l’ambition de se représenter aux prochaines élections législatives afin de renouveler son mandat au parlement. À ce niveau de responsabilité publique, le député qui a engrossé sa belle-sœur est plus que blâmable. Il a failli et n’a eu aucun égard aux valeurs culturelles et sociétales. Il s’agit d’une affaire de pudeur qui couvre de honte le titre d’honorable député. Il ne s’agit pas d’un acte qui honore l’image publique d’un élu du peuple. En raison de la sensibilité du sujet, la rédaction du journal Le Potentiel a fait l’option de ne révéler ni l’identité ni les initiaux du député, ni sa circonscription ou encore son département. Quoi qu’il en soit, ce député qui a engrossé sa belle-sœur et a fait avorter va devoir traîner le poids de ce péché toute sa vie et sur sa conscience.

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Les conséquences spirituelles de l’IVG

Dieu pardonne toujours, l’homme pardonne souvent, mais la nature ne pardonne jamais dit un adage spirituel populaire. L’avortement est certes autorisé dans des conditions définies par la loi, mais elle a des conséquences spirituelles dramatiques. Les spiritualistes ont démontré que l’âme du fœtus (futur homme tué) reste errante et ne cesse de hanter l’auteur de l’interruption volontaire de grossesse de même que ses complices. Le député qui sait que coucher avec sa belle-sœur est proscrit par nos us et coutumes a commis une violation des règles élémentaires de la vie et l’avortement est un péché à vie. Si à ce niveau de responsabilité, l’on est incapable de maîtriser sa libido au point de prendre sa belle-sœur pour sa femme, cela veut dire qu’il y a encore un travail de maturité à faire. Les conséquences spirituelles sont là. Ce député et sa belle-sœur ne pourront échapper aux effets de cet acte d’abomination. Avec ce comportement, il ne serait pas surprenant de prédire l’échec aux prochaines élections législatives à ce député qui cherche à renouveler son mandat. Rien de bon n’attend un homme qui a couché avec sa belle-sœur. La repentance, seule voie qui s’impose.

B. K. S