Expansion des pratiques sexuelles contre nature en Afrique : L’homosexualité, la lèpre des temps modernes à bannir du Bénin

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Les fantasmes toxiques et insensés des Hommes ont propulsé, ces dernières décennies, l’humanité vers l’abîme de l’irrationnel. Sur l’étalage de l’inexplicable, le sexe est déshabillé et déshonoré par les nouvelles orientations d’une certaine frange minoritaire sur la planète terre. L’homosexualité avec les pratiques rangées sous le vocable Lgbt+ est un phénomène émergent. Dans les pays du Nord, notamment occidentaux, la pratique est normalisée et labellisée à coup de lois. Tout un dispositif institutionnel et législatif avec des supports de communication ont fait le job du lavage de cerveau de ces peuples. Bienvenue dans une société où deux hommes peuvent se marier et deux femmes peuvent se marier. Le sexe hétéro n’est plus la règle. L’homosexualité a pris le pas. Et quand bien même ce n’est qu’une minorité de gens mal inspirés qui s’y adonnent, l’homosexualité est devenue l’autre face des droits humains que l’on tente d’exporter partout sur la planète terre. Fort heureusement, l’Afrique n’oublie pas ses racines de vie. Avec fortune diverse, certains pays résistent à cette invasion de l’homosexualité. Selon les récents rapports, sur le continent africain en 2023, 27 pays répriment et condamnent l’homosexualité. Quatre pays condamnent encore à la peine de mort des homosexuels pour des relations sexuelles entre personnes du même sexe. 40 pays sur le continent n’offrent pas de protection juridique pour les personnes LGBT. Les avancées contre les persécutions se font rares et restent fragiles. Les pays comme l’Ouganda, certains États du Nigeria, le Ghana, la Somalie, le Soudan, le Kenya, l’Égypte, l’Algérie, le Maroc, presque tous les pays de l’Afrique de l’Est sont actifs sur le front de lutte contre l’homosexualité. Des peines de prison et de mort sont infligées aux auteurs de cette pratique abominable. Le Bénin reste sur la ligne médiane, ni pour ni contre. Aucune loi n’est votée pour encourager ou proscrire la pratique abominable de l’homosexualité. Il s’agit assurément d’un choix stratégique de l’État béninois qui sait qu’il est très suivi par les fameux donneurs de leçons occidentaux tapis dans les institutions d’évaluation des droits humains dans les pays. Qu’à cela ne tienne ! Au sein de la société béninoise, cette pilule amère de l’homosexualité ne pourra d’ailleurs pas passer. Les pouvoirs publics savent qu’ils courent aussi un risque énorme si jamais il leur arrivait de songer à légiférer pour consacrer la promotion de l’homosexualité. Les Béninois sont très attachés à leurs cultures et aux valeurs de vie. La tendance générale dans le pays n’est nullement en faveur de l’homosexualité. Ces derniers jours, des voix d’influence s’élèvent pour condamner la pratique. L’homosexualité est «une abomination dont la conséquence est la colère et la malédiction de nos ancêtres », lançait l’ex-Chef d’État Béninois Thomas Boni Yayi récemment dans un post sur sa page Facebook. « Lévitique 20:13 LSG :  » Si un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable ; ils seront punis de mort : leur sang retombera sur eux. » Genèse 19:24-25 LSG :  » Alors l’Éternel fit pleuvoir du ciel sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu, de par l’Éternel. Il détruisit ces villes, toute la plaine et tous les habitants des villes, et les plantes de la terre. » » À travers ces passages bibliques, l’ancien président Boni Yayi rappelle ainsi comment les villes de Sodome et de Gomorrhe ont été détruites. Dans ces deux villes, l’homosexualité était répandue. Les hommes allaient avec les hommes et les femmes allaient avec les femmes. Contraire à l’ordre normal établi, Dieu a simplement frappé de mort ces peuples. « Ainsi, la condamnation de notre créateur de ces actes contre nature est sans appel. Du reste, nos traditions n’ont jamais accepté que l’homme aille avec l’homme ou la femme avec la femme. Nos sociétés considèrent cela comme une abomination dont la conséquence est la colère et la malédiction de nos ancêtres qui nous ont précédés dans la vie.», écrit Boni Yayi qui poursuit : « Il s’agit donc par ces pratiques de la mise en œuvre d’une volonté malheureusement concertée de détruire non seulement les sociétés africaines, mais simplement humaines dans leur fondement ». A l’image de l’ex-Président de la République, plusieurs voix s’élèvent déjà pour éduquer les jeunes à respecter les valeurs authentiques enfouies dans les cultures africaines et béninoises. Aucune des religions sérieuses au monde, encore moins les cultures africaines et béninoises, ne tolèrent l’homosexualité. C’est proscrit. D’ailleurs, les animaux que les “ fameux hommes rationnels ” qualifient d’êtres sans raison et portés uniquement par l’instinct, ces animaux, n’entretiennent jamais des relations sexuelles entre les mêmes sexes. L’accouplement se fait toujours entre les sexes opposés. Face à cela, on est en droit de se demander, qui est finalement rationnel entre les hommes qui végètent et applaudissent l’homosexualité, d’une part et les animaux qui s’accouplent toujours entre sexes opposés, d’autre part ? Évidemment, les déviants sociaux qui enfreignent les règles normales de la sexualité ne vaudraient pas mieux devant Dieu et les ancêtres s’il fallait les comparer aux animaux. Personne ne nie que chacun est libre de faire de sa vie ce qu’il veut. Mais, la déviance dans les choix sexuels ne peut être tolérée au point où des hommes iraient avec des hommes et des femmes avec des femmes. L’urgence est là. Au besoin, l’État béninois sera contraint d’aligner sa législation sur celle d’autres pays africains déjà engagés dans la lutte contre l’homosexualité. Si la sensibilisation tarde à porter ses fruits, la poignée infirme de personnes qui promeut cette pratique abominable réussirait à embobiner plus de personnes. La dissuasion et la contrainte légale restent l’option à ne pas exclure. Cela y va de la protection des valeurs de Chez Nous. Ici c’est le Bénin.

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