Phase écrite de l’examen de la licence : Éléonore Ladékan Yayi lance les épreuves au Ceg Les Pylônes

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La ministre de l’enseignement supérieur Eléonore Yayi Ladékan a lancé officiellement ce vendredi 08 janvier 2021 la phase écrite de l’examen national de licence session 2020, au Collège d’enseignement général Les Pylônes.

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Cette édition intervient après la phase pilote de 3ans. Ils sont au total 5275 candidats qui prennent part à cet examen sur toute l’étendue du territoire national dont 2486 garçons et 2789 filles.

La session 2020 de l’examen national de licence a démarré depuis le lundi 04 janvier 2020. A cet effet, c’est le Ceg les Pylônes qui a abrité le lancement officiel de la phase écrite. Pour cette édition, ils sont au total 5275 candidats dont 2486 garçons et 2789 filles à la conquête de ce diplôme professionnel. Dans le centre le centre du Ceg Les Pylônes, 554 candidats dont 216 filles répartis dans 30 salles composent dans 7 filières. Il s’agit entre autre des épreuves de l’agronomie, du journalisme, de la communication multimédia, des bâtiment et travaux publics, du géomètre et topographie, de l’hôtellerie et restauration et du tourisme et loisirs.

A l’occasion, monsieur Youssao Abdou Karim, conseiller technique recherche et chargé des relations avec les établissements privé dans d’enseignement supérieur a fait remarquer qu’on note une augmentation de 754 candidats de 2018-2019, soit un taux positif de 12,62% et une diminution de 1452 candidats de 2019 à 2020, soit un taux négatif de 21,58%. Madame la ministre quant à elle, a expliqué que « cet examen intervient Après l’étape pilote de 3 ans pour lesquels le bilan qui a été fait a permis au gouvernement d’aller sur l’option de la pérennisation et pour cette option, la première édition des examens nationaux commencent aujourd’hui pour la phase écrite ».

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Aussi, a-t-elle rappelé que ces filières dans lesquels les candidats composent, sont en général très professionnelles et l’option du gouvernement est de pourvoir accompagner tous les efforts qui se font aussi bien dans le public que dans le privé pour aller à une orientation métier et de faire en sorte que les apprenants puissent trouver quelque chose à faire, soient utiles au développement pour le développement dès qu’ils finissent. De ce fait, elle les appelle à « prendre leur part de contribution à l’œuvre du développement ».

À en croire l’autorité ministérielle, l’option du gouvernement dans cette pérennisation est de réaffirmer son soutien à tous les établissements privés comme publics qui font de très bon travail et leur dire que la qualité doit être au centre de nos prestations. Une qualité dont les établissements privés d’enseignement supérieur à travers leur vice-président Virgile Ahyi, reconnaissent l’importance et jugent normale la pérennisation.

Aussi, a-t-elle réaffirmé le soutien du gouvernement aux Epes et explique pourquoi l’option de pérennisation « nous donnons également la preuve de ce que le gouvernement est toujours là pour les accompagner. On a donné des agréments la dernière fois à un certain nombre d’établissements pour leur rigueur, leur crédibilité et le gouvernement continuera dans ce même élan, soutenir ceux qui font des efforts c’est pourquoi on est allé dans l’option de la pérennisation pour permettre à tous ceux qui veulent contribuer à l’amélioration du système éducatif de pourvoir atteindre leur objectif ».

Eléonore Yayi a souhaité une bonne composition aux candidats et a salué l’expertise du Dec et de ses collaborateurs. Elle a également reconnu le mérite des Epes, des superviseurs pour leur accompagnement.

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