Quinquennat du Chef de l’État : Roch David Gnahoui et les universitaires font un bilan satisfaisant
C’est autour de la thématique « Regards croisés des universitaires sur le quinquennat du président Patrice Talon », que le cercle des leaders politiques de l’UAC, acteurs du sérail étatique, députés à l’Assemblée nationale, administratifs de l’UAC et universitaires se sont livrés à un exercice peu ordinaire ce vendredi : dresser le bilan du quinquennat. Tous les secteurs d’activités ont été passés au peigne fin à travers des communications enrichissantes.
Du nouveau départ à la Rupture, le chemin a été, à en croire ces derniers long, mais parsemé de réalisations et de réformes les unes plus osées que les autres. Des actions qui ont eu des impacts aussi bien quantitatifs que qualitatifs sur le quotidien du peuple béninois.
Selon le professeur Roch Gnahoui David, les regards croisés sur le quinquennat du président Patrice Talon amènent à une seule chose qui est la notion de réforme. Les performances économiques, les réalisations socio-communautaires, la modification de la constitution, le dépoussiérage de la démocratie et du système partisan, l’introduction du parrainage, les infrastructures en chantier, la protection de la santé publique sont à l’actif du président Patrice Talon qui est venu pour réformer. Sans les réformes, il n’y a pas de croissance, assure le professeur Roch Gnahoui David.
À titre d’illustration, il revient sur le classement du Bénin parmi les pays à revenu intermédiaire et standard and poors a encore proclamé B+ le Bénin.
Enseigner l’esprit de réforme au peuple
C’est l’une des prescriptions du professeur Roch Gnahoui David, qui du fait, envoie les universitaires en mission pour enseigner l’esprit de réforme au peuple. C’est-à-dire l’amélioration de l’ordre et le développement qui impacte toutes les couches de la nation.
Toutes les réformes engagées par le président Patrice Talon attestent que le Bénin a changé de visage, qu’il est respecté à l’étranger, que le Bénin révélé sera davantage célébré. Les universitaires pensent qu’une équipe qui gagne, on la reconduit simplement.