Cour suprême : les travailleurs rendent un vibrant hommage à Ousmane Batoko

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Les membres et le personnel de Cour suprême du Bénin, avec à leur tête, le nouveau président de l’institution, Victor Dassi Adossou, ont rendu un vibrant hommage au président sortant de l’institution, Ousmane Batoko. La cérémonie d’hommages a eu lieu ce vendredi 19 mars au siège de la juridiction.

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A cette cérémonie d’hommage, le Président Victor Dassi Adossou, a, au nom du personnel et des membres de la Cour, dit ses reconnaissances, gratitudes et son admiration au président sortant de la Cour suprême du Bénin Ousmane Batoko avant de mettre en relief quelques initiatives et actions significatives qui portent sa marque.

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Selon lui, Ousmane Batoko a servi avec bonheur la maison justice pendant près de vingt (20) ans. « Avant de prendre les rênes de la Cour suprême, vous avez en effet été membre du conseil supérieur de la magistrature (CSM) pendant un septennat », a-t-il précisé avant de souligner que l’homme travaille depuis si longtemps au lustre et au prestige non seulement de la magistrature mais aussi à la grandeur du service public de la justice de son pays.
Rappelant quelques actions internes du président Ousmane Batoko à la Cour suprême, Victor Dassi Adossou, a par ailleurs, rassuré de ce que les membres de la Cour ne doutent pas un seul instant qu’elles seront poursuivies.

Répondant aux hommages et témoignages rendus envers sa personne, Ousmane Batoko, a souligné qu’il avait partagé avec les uns et les autres à sa prise de fonction le 28 février 2011ses ambitions pour la maison justice. Lesquelles ambitions, dit-il, ont été la ligne directrice de son action tout au long de ces dix ans. « Lorsque la ligne juste est tracée, les cadres décident de tout », a-t-il affirmé avant de faire savoir que le bilan de ces deux mandatures est celui de tous. Nous pouvons donc être tous fiers du travail accompli, s’est réjoui Ousmane Batoko.

« La justice constitue l’un des piliers de l’Etat, en particulier de l’Etat de droit. Elle n’est pas, pour nos concitoyens, une institution lointaine ou abstraite. Elle fait partie des services publics essentiels, car elle a en charge la défense de leurs droits et la protection de leurs libertés », a rappelé par ailleurs le président sortant de la Haute juridiction, avant de demander aux membres et au personnel de la Cour, de poursuivre sans relâche la recherche de l’excellence afin que la Cour suprême, institution faîtière, puisse continuer à jouer pleinement son rôle et être au diapason des mutations de leur époque.

SWEDD

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