La Côte d’Ivoire est confrontée à une recrudescence inquiétante de l’épidémie de mpox, connue sous le nom de variole du singe. Au 20 août 2024, 28 cas ont été confirmés à Abidjan, dont un décès, selon les données de l’Institut national de l’hygiène publique (INHP).
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Le docteur Daouda Coulibaly, porte-parole de l’INHP, a souligné la nécessité de renforcer les mesures de surveillance pour interrompre les chaînes de transmission. « Il est crucial d’identifier les contacts des personnes infectées, de les isoler et de les surveiller de près, » a-t-il déclaré. Le nombre de cas a rapidement augmenté, passant de six non mortels au 1er août à 28, exigeant une réponse sanitaire plus rigoureuse.
Cette flambée en Côte d’Ivoire intervient dans un contexte où la propagation du virus en Afrique devient de plus en plus préoccupante. La République démocratique du Congo (RDC) reste le pays le plus touché, avec plus de 16 000 cas et 548 décès.
Kevin da-SILVA
