Bénin : << Le Projet Asphaltage séduit totalement et la mauvaise foi explose ! >>, affirme Gilles Expédit GOHY

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<< Le projet Asphaltage sous La Rupture du Président Patrice Talon connaît des ovations soutenues partout au Bénin et dans lascenseur de l’apothéose fatale, de nouveaux délires de mauvaise foi enflent de miasmes morbides et explosent dans la gadoue de caniveaux. Maladroitement, des commentaires puants tentent ainsi de vilipender de belles évidences qui ont pourtant déjà totalement dépassé le référentiel national. Totalement structurées, les articulations de ce projet sont si bien huilées qu’il sépanche simultanément, sans coup férir, dans neuf villes béninoises ! Que de performances bourrées de densité et de savoir-faire caractérisent ce Projet !

Grâce à Asphaltage, la physionomie du Bénin est en totale mutation et, nen déplaise aux mesquins, c’est bien à La Rupture du Président Patrice Talon qui n’en est pourtant qu’à son premier mandat présidentiel qu’on le doit ! Tout faire pour salir l’excellente copie de ce Président visionnaire et déterminé afin de minimiser méchamment le rude effort présidentiel pour révéler le Bénin au monde entier, devient d’office le crédo des vilains suppôts de la misère et de la paupérisation continue des communautés béninoises ! Et cela n’a pas tardé ! Sortis des bois comme des loups affamés, des « experts » de tous acabits se croient désormais obligés de s’exprimer, aux confins de leurs spéculations erronées, surannées et constipantes !

Que diable vient faire le sieur Claude Djankaki dans ce débat qu’il sait ne pouvoir supporter et gagner ?
Expert en décentralisation », donc, supposément rompu à la gouvernance locale, il estime pourtant erronément que « l’asphaltage ne doit pas compter dans le bilan de La Rupture » ! Il estime ainsi gravement que « la construction des routes n’est plus un indicateur de performance d’un régime, depuis le Renouveau Démocratique » ! Rien que cela ! Wow ! Quelle tristesse !
Faisons simplement quelques observations :

1- Depuis quand Le Renouveau Démocratique est-il la référence en matière d’appréciation de performances au Bénin ?

2- Selon notre expert en décentralisation, « De Kérékou à Yayi, en passant par Soglo, tous les régimes ont construit des routes et échangeurs ! » Sans pourtant en citer !

3- Il poursuit l’injustesse de ses propos en écrivant : « L’asphaltage n’est qu’un changement d’orthographe pour majorer les coûts de réalisation ! » Et voilà ! Le venin du discrédit et de la lâcheté est lancé ! Quelle sotte hérésie ! De quels routes et échangeurs nous parle-t-on en confondant gravement et allègrement « échangeur » et « passage supérieur » ?

Il est vraiment regrettable que la mauvaise foi pousse l’auteur de larticle incriminé, ancien cadre responsable du Ministère de l’Intérieur qui a assez voyagé à l’extérieur du Bénin à la faveur, entre autres, des positions privilégiées que son parti La Renaissance du Bénin lui offrit, fasse cette confusion inadmissible ! « échangeur » n’est pas et ne sera jamais égal à « passage supérieur ». 
Qu’elle était la réalité vécue des routes et pavés du Bénin avant le Projet Asphaltage de La Rupture du Président Patrice Talon ? La voici, schématiquement !

À part cette « chose » inachevée, sous-dimensionnée et bâclée pompeusement appelée « échangeur » au carrefour de Godomey, qu’étaient les fameux autres routes et échangeurs dont parle notre expert en décentralisation ? A l’exception du Boulevard des Armées réalisé sous la grande vigilance de l’Union Européenne, les routes du Bénin, toutes proportions gardées, n’étaient que des passerelles jonchées de nids de poules ou d’aigles, au choix ! C’étaient donc des routes très inconfortables, majoritairement héritées de la période coloniale ou du bradage des milliards sous la décennie Boni Yayi !
Que l’expert en gouvernance locale nous dise !

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a- Qu’a concrètement rapporté de bon à Allada la route Akassato-Bohicon qui cassa proprement les maisons au bord du goudron existant ?

b- La ville de Porto-Novo davant-Patrice Talon avait-elle les attributs d’une capitale politique digne et prospère ? Qu’en est-il aujourdhui de Porto-Novo avec ce qui est désormais appelé « les routes Talon » ?

c- L’expert en décentralisation Claude Djankaki fait-il depuis au moins quatre ans l’axe routier Allada-Tori-Ouidah pour oser comparer les routes Talon à celles qu’il a indexées ? Soyons sérieux pour comparer des choses incomparables !

On m’excusera du peu, mais je dis que la phrase suivante est minable et laisse perplexe : « L’asphaltage n’est qu’un changement d’orthographe pour majorer les coûts de réalisation ! » Voyons donc ! Quelle expression !
De quels coûts de réalisation nous parle-t-on quand pour le premier régime du Renouveau démocratique, aucune évaluation de la gouvernance financière du Président Nicéphore Soglo ne fut jamais faite des milliards de francs déversés sur le Bénin qui bénéficiait ainsi du capital-crédit favorable conféré par sa Conférence nationale ?
L’expert en décentralisation peut-il nous parler de coûts de réalisation quand, de sa position socioprofessionnelle, il connut parfaitement bien l’histoire de « l’échangeur de Godomey », de la route Allada-Tori-Ouidah et des routes de Parakou construites à coûts de milliards sous le Président Boni Yayi et actuellement totalement dégradées ? Elles sont dans des états physiques pires que de nombreuses routes coloniales ! Ne charrions donc pas et je n’exagère aucunement en affirmant qu’on doit la physionomie actuelle de Parakou où j’étais en mars 2020, au Président Patrice Talon !

On observe ainsi que, à la suite du ministre de la Culture M. Ganiou Soglo qui, récemment, méconnut grossièrement que le développement d’un pays passe nécessairement par le développement de ses routes, M. Claude Djankaki, pourtant expert en gouvernance locale, méconnaissant, établit des parallèles troublants et de pénibles avatars dans une sémiologie de mauvais aloi qui ne peut manquer de laisser goguenard ! « Changement d’orthographe » dit-il ! Pourquoi n’en avoir pas établi quand furent vilipendés « les pavés Soglo » par l’un de ses amis politiques ?
Combien de kilomètres de routes ou de pavés significatifs les régimes Kérékou et Yayi loués par M. Claude Djankaki firent-ils à Cotonou et dans d’autres localités du Bénin comme Abomey-Calavi, Porto-Novo ou Abomey ? Si tous les régimes antérieurs à La Rupture, notamment ceux bruyamment louangés par notre expert en décentralisation, avaient fait le quart des routes et pavés de La Rupture, y aurait-il encore des voies sablonneuses à Cotonou, par exemple ? Le Président Patrice Talon en serait-il encore à séchiner pour le Projet Asphaltage qui n’est rien dautre qu’un vibrant succès que la jalousie et la mauvaise foi des perdants essaient vainement de vilipender ?
Pendant qu’on y est, je lui suggère de demander au Président SOGLO, grand bénéficiaire du projet Asphaltage, s’il ne s’agit que de mots. Il lui répondrait sans doute qu’il adore l’état actuel de son quartier et de sa rue, comparé à ce que c’était sous sa propre gouvernance et celle de Kérékou et Yayi. Passe !
Mais que pense aussi l’expert en gouvernance locale de ce qu’est aujourdhui La Route des Pêches ?
Souvenons-nous toujours de nos référents socioculturels, s’il vous plaît !
Ne dit-on pas chez nous au Bénin, en langue Fon : « avò djè kintò houn é kpà ! / Reconnais la belle tenue de ton ennemi bien habillé ! » ?
Diminuez donc l’intensité de la mauvaise foi ambiante et critiquez posément !
Enfin, à en croire notre expert, « l’asphaltage n’est juste qu’un habillage sémantique pour parler de réalisation de bitume et donc, dans ce sens, rien de nouveau à signaler’’. Une position qui ne devrait certainement pas plaire aux caciques du pouvoir qui ne jurent que par l’asphaltage ! Quelle erreur d’appréciation !
Contrairement à ce que les courts d’esprit ou les attardés mentaux croient, les soutiens francs et honnêtes de La Rupture qu’ils nomment erronément « caciques du pouvoir » n’ont pas que le Projet Asphaltage à vendre ! Les résultats du Président Patrice Talon sont si nombreux et si percutants qu’il serait fastidieux de les énumérer. Je l’ai déjà suffisamment fait pour m’y étendre encore ici. Je vais simplement suggérer aux jaloux et aux bourrés de mauvaise foi de méditer les performances de notre agriculture ou encore les investissements massifs dans le secteur du numérique sous la gouvernance du Président Patrice Talon pour cesser de cracher du venin ! Sinon, on penserait à juste titre qu’ils ne vivent que pour ça !
Je crois en avoir assez dit pour faire constater que, comme un certain ancien Président de la République, nos aînés vieillissent mal, souvent très mal !
Nous avons pourtant besoin au Bénin d’aînés modèles constructeurs et non de vieilles croutes à qui beaucoup de jeunes patriotes nont certainement pas envie de ressembler ! >>

Dr. Ir. Gilles Expédit GOHY,

Sociologue Statisticien Démographe et Politologue,

Directeur-adjoint de Cabinet du Ministère de la Communication et de la Poste.

Auteur du livre « Education et Gouvernance Politiques au Bénin du Danxômè à l’ère démocratique », en vente à la librairie Notre Dame de Cotonou et aux Editions L’Harmattan à Paris.

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